Si vous vous êtes coupé de l'actualité cet été, attention aux surprises de la rentrée ! Pour les conducteurs, il y a eu de gros changements en juillet et en août. Et les mauvaises nouvelles sont plus nombreuses que les bonnes !
Les ventes de voitures d'occasion se sont envolées en juillet. Pas étonnant, les Français voulaient profiter de la prime à la casse avant la mise en place de conditions plus restrictives.
Gros tour de vis pour la prime à la conversion. C'était attendu, le dispositif étant trop coûteux pour l'Etat car victime de son succès. Mais la surprise vient du calendrier : les nouvelles règles s'appliqueront dès le 1er août 2019. Qui doit donc foncer chez un vendeur pour ne pas être perdant ?
On savait que le gouvernement voulait réformer la prime à la conversion mais celui-ci est allé très vite puisque la réforme vient d'être publiée aujourd’hui au Journal Officiel et sera applicable dès le 1 août prochain.
C’est à l’occasion d’une interview chez nos confrères de France Info, qu’Élisabeth Borne, ministre des transports a lâché cette phrase pour le moins étonnante. Au-delà des mots et si on lit entre les lignes, on peut y voir également la volonté de gouvernement de durcir la prime à la conversion.
Victime de son succès, la prime à la casse coûte trop cher à l'État. Selon Le Parisien, des conditions plus strictes pourraient être en place dès la fin de l'été !
Victime de son succès, la prime à la casse coûte cher à l'État. Le gouvernement planche donc sur des règles d'attribution plus sévères. Il ne devrait plus y avoir d'aide sur les véhicules haut de gamme.
L’automobile, une alliée aussi indispensable qu’exigeante d’un point de vue financier. Pour nombre d'entre nous, seule une réduction des déplacements permet de compenser la hausse constante du budget auto.
Il y a déjà eu plus de demandes en 2019 que sur l'ensemble de l'année 2018. Depuis le 1er janvier, la prime peut atteindre 5 000 € pour les ménages modestes.
C’est une question de jours avant que le ministère des transports ne rende public le très attendu bilan 2018 du contrôle technique, mais Caradisiac est déjà en mesure de vous en dévoiler les grandes tendances. Si la hausse du taux de contre-visite est loin de la catastrophe redoutée, d’autres phénomènes inquiètent les professionnels.