Hier les déblocages étaient de mise avec une situation qui tendait à s'améliorer. Qu'en est-il aujourd'hui ? Si déblocage il y a, la situation à la pompe reste encore quelque peu hasardeuse. Oui l'essence arrive mais il faudra encore vous armer de patience pour remplir votre réservoir.
Même si les grèves et les blocages des raffineries commencent à prendre fin, la situation reste encore tendue avec encore plus de 4 000 stations en pénurie totale ou partielle. Des régions plus ou moins touchées, des usagers sous pression et des files d'attente longues comme le bras… les grèves et blocages des raffineries françaises commencent à prendre fin.
Le Brésil est connu pour ses spécialités hybrides qui peuvent réserver de sacrées surprises lors d'une rencontre et plus si affinités. Mais il n'y pas que dans le folklore que cette tendance se remarque. Il y a aussi du sérieux et de la technique.
Pendant que les usagers de la route profitent pleinement de la baisse du prix de l'essence (et du diesel), l'Union Européenne planche sur une nouvelle taxe qui fera probablement couler beaucoup d'encre. En effet, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schaüble, a mis en lumière une de ses idées qui consisterait à taxer chaque litre de carburant pour aider dans l'accueil des migrants.
Bonne nouvelle pour cette fin d'année le prix des carburants est en baisse avec même un record sur les cinq dernières années. Le baril de pétrole chute et ça se ressent lors du passage à la pompe.
L'année avait plutôt mal commencé, avec un prix de l'essence en stagnant, puis une augmentation aux alentours du mois de mai. Et bien la rentrée est sous le signe des économies, puisque l'ensemble des indicateurs sont en chute, autant sur l'essence, que sur le gasoil. Un accès de bonté sur la taxation de notre gouvernement ?
Après une grosse baisse du prix à la pompe, l'essence est repartie à la hausse et pas qu'un peu. Depuis la semaine dernière le gazole a pris 0,76 cent et l'essence 1 cent. Les prix consommateurs n'ont pas été aussi élevés depuis l'automne dernier. Le responsable ? Les cours du brut ne cessent d'augmenter.
C'est sur le dos des usagers de la route que le gouvernement fait son beurre. C'est en tout cas ce que pourrait penser Christian Eckert, le secrétaire d'État chargé du budget, en dévoilant les recettes que l'Etat a perçu en 2014 grâce aux taxes sur le carburant.
Il est incontestable que la baisse du prix du carburant soulage le budget, mais d'après l'association de consommateurs CLCV, les distributeurs de carburants ne répercutent pas la baisse du prix du baril instantanément à la pompe, augmentant ainsi leurs marges sur le dos du consommateur de 3 centimes par litre en moyenne.
C'est l'une des bonnes nouvelles de ces derniers mois. Beaucoup d'entre vous l'auront déjà remarqué, le prix à la pompe a fortement baissé. Depuis le début de l'été, le cours du pétrole n'a fait que chuter ce qui a eu pour conséquence une forte baisse du prix du carburant.
SPONSORISE
