Les aléas financiers des constructeurs automobiles ont parfois d’étranges conséquences. Ainsi, le groupe chinois Geely est, à la fois, le propriétaire de Volvo Cars depuis 2010 et détenteur, depuis 2020, de 50 % de Smart automobiles. Afin de rentabiliser les coûts, ces deux labels, originellement européens, ont donc usé de composants communs pour développer leurs premiers petits SUV électriques. Tout en prenant soin de les distinguer franchement sur le plan esthétique. Mais y’en a-t-il un des deux qui prend le dessus sur l’autre ?

Pour convaincre la clientèle européenne, la plupart des constructeurs chinois ont fait le choix de la différence en ne proposant que des modèles électriques. Mais, le marché étant ce qu’il est, ces nouveaux venus sont en train de comprendre que, s’ils veulent remplier leurs objectifs, il va leur falloir proposer des motorisations plus en accord avec les souhaits des acheteurs potentiels. Une politique réaliste qui trouve, chez BYD, sa première incarnation au travers du Seal U hybride rechargeable.

Audi vient de donner un coup de frais à son SUV électrique e-tron pour son cinquième anniversaire. Désormais nommé Q8 e-tron, afin de mieux l’intégrer au sein de la gamme, il promet une large remise à niveau technique. Simple effet d’annonce pondu par le service marketing ou véritable travail de fond réalisé par les ingénieurs ? Et ces évolutions suffisent-elles à le relancer au sein d’une catégorie où prennent désormais place BMW et Mercedes ? Réponse face au iX, un BMW qui ne craint pas d’afficher sa différence.

Cette année, la plus sexy des petites anglaises fête ses 65 ans. Une occasion immanquable de lui offrir une mise à jour. Celle-ci prend la forme d’une 5e génération, la 4e depuis l’intégration au groupe BMW, tout d’abord disponible uniquement en version électrique. Parvient-elle malgré tout à conserver ce qui fait le charme de la Mini ou les ingénieurs ont-ils trop forcé sur la dose d’édulcorants ? Réponse avec l'essai de la version S.

Skoda poursuit le renouvellement effréné de sa gamme avec l’arrivée en concession de la deuxième génération de son grand SUV, le Kodiaq. Au premier coup d’œil, et à la lecture de la fiche technique, il ne semble pas avoir beaucoup évolué. Est-ce un trompe-l’œil ou Skoda n’a-t-il réellement procédé qu’à un dépoussiérage de l’un de ses best-sellers ? Réponse avec la version 2.0 TDI 150 ch DSG.

C’est lors d’une cérémonie organisée en parallèle du salon de New York que le comité a dévoilé le nom des lauréats.

Alors qu’il souffle sa cinquième bougie, le Juke de deuxième génération profite d’une petite remise à niveau. Mais, ici, pas question de retouches esthétiques extérieures, même légères, ni même d’évolutions mécaniques. Nissan s’est, en réalité, limité à offrir une nouvelle planche de bord à son petit SUV… et à réintégrer dans son nuancier une teinte qui avait remporté un grand succès sur le premier opus. Essai de la version hybride.

Depuis 2001, la Skoda Superb s’est toujours distinguée par son rapport prix/habitabilité/technologie sans concurrence. Une équation qu’elle n’a eue de cesse, au fil des générations, de peaufiner. Le quatrième opus "moderne" dont nous essayons la version 1.5 TSI 150 ch MHEV ne fait pas exception à la règle. Mais cela sera-t-il suffisant pour lutter contre le désamour de la clientèle pour les véhicules de sa catégorie ?

Fort de ses 14 marques, le groupe Stellantis s’évertue à proposer au moins une auto adaptée aux besoins et envies de tout un chacun. Ainsi, l’automobiliste à la recherche d’un haut de gamme made in France pourra-t-il hésiter entre une Peugeot 508 au caractère sportif et une DS 9 mettant en avant une certaine idée du luxe. Entre ces deux visions, qui peuvent sembler opposées, il est néanmoins permis de se poser une question simple : laquelle des deux est la meilleure ?

Alors que, dans un mois, les lauréates de ces trophées seront dévoilées, la liste des prétendantes s’est encore réduite avec la révélation des 3 modèles toujours en lice dans chaque catégorie.