Freinage, direction, moteur, ergonomie, style, comportement, sportivité et confort sans faute, difficile de faire mieux pour cette nouvelle génération de Cayman à laquelle il ne manque finalement qu’une version délurée (fatalement moins assistée) pour satisfaire la frange resserrée des « porschistes historiques nostalgiques », ceux qui voyaient dans les précédentes générations de 911 le coupé sportif parfait… que n’est plus la très bourgeoise 911 Type 991 actuelle devenue vénérée patriarche un poil moins vivante. Loin de faire de l’ombre à la 911, le nouveau Cayman brille tout seul dans son coin et offre le choix unique d’une précision et d'une sportivité plus affirmées. Sa mission : attirer les futurs porschistes nostalgiques de demain.
On attend donc avec impatience un Cayman plus fiévreux, une version GT3 à la poupe qui bouge, une auto vivante pour nouveaux porschistes en quête de sensations plus encore que d'efficacité. C'est une question d'éducation.
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