9. A retenir-les prix

Avec ses deux moteurs, la Lexus IS fait partie des plus recommandables familiales de constructeurs haut de gamme, la version à essence justifiant ses tarifs plus élevés par des prestations un ton au dessus, surtout en BVA. Dommage que le poids grève la sportivité du modèle et pénalise quelques peu les consommations.

Pour sa première incursion dans le monde du Diesel, Lexus réussit l’examen d’entrée avec les honneurs. Le châssis de la Lexus IS supporte bien mieux les 400Nm du 2.2 litres que le train avant de la Toyota Avensis.

Assurément la meilleure familiale Diesel 4 cylindres de plus de 150 ch parmi les constructeurs Premium (haut de gamme) en ce début de 2006, mais à prix équivalent on trouve des 5 cylindres également très plaisants chez Alfa et Volvo, et beaucoup plus chers à équipement égal, des 6 cylindres plus vigoureux et raffinés chez le trio germain, Audi, BMW et Mercedes. Si on veut bien oublier l’image de marque et l’impression de qualité perçue, une seule berline de constructeur généraliste soutient pour l’instant la comparaison à tous point de vue, la Renault Laguna GT 2.0 dCi 175 ch.

En attendant prochainement les modèles de Citroën/Peugeot et Jaguar/Ford équipés du prometteur 2.2 biturbo 170 ch et à l’été 2006, la Passat avec son 2.0 TDI 170.

Les prix en euros de la Lexus IS 250 & 220d (février 2006)