L'information est à prendre comme une rumeur mais le malus pourrait finalement garder un plafond. Sauf qu'il passerait de 12500 à 20000 €. Cela permettrait de dégager 50 millions d'euros supplémentaires dans le barème du bonus/malus et soutenir les sous-traitants automobiles.
La Formule 1 veut se donner une image "eco friendly" en arrivant à la neutralité carbone d'ici 2030. Comment faire, alors qu'il s'agit d'un des sports les plus polluants qui soit ? Grâce à une chaîne logistique moins émettrice de CO2, des usines neutres en carbone et des efforts à tous les niveaux.
La part de marché des voitures électrifiées n'atteint pas encore des sommets, mais dans certains pays, la progression est tout de même présente. L'ACEA (association des constructeurs européens d'automobiles) pointe toutefois du doigt la trop grande disparité de la croissance des électriques en Europe.
Voilà une information peu connue qui concerne la législation en matière de rejets de CO2 en Europe. Les 95 g/km de CO2 sont en fait une moyenne générale pour l'industrie automobile, avec des objectifs individualisés pour chaque constructeur, notamment en fonction de la masse moyenne des véhicules.
Gros micmac autour du bonus-malus : ces six prochains mois, trois modes de calcul vont se succéder. Ce qui risque de congeler le marché automobile une bonne moitié de l'année. Mais n'empêchera pas la terre de se réchauffer.
Le gaz naturel est souvent vendu comme un carburant "propre", émettant moins de CO2 que le gazole ou le sans-plomb brûlé. Mais selon une toute récente étude néerlandaise, le gaz naturel émet bien plus d'oxydes d'azote qu'un modèle équivalent diesel sur les camions fonctionnant au GNL (gaz naturel liquéfié). Entre réduction du CO2 ou des NOx, il faut donc "choisir"...
La Californie a, depuis plusieurs mois, décidé de ne pas suivre la réglementation de l'EPA (agence de protection de l'environnement) sur les normes environnementales, jugées trop laxistes par le gouverneur californien. Donald Trump a répliqué en annonçant vouloir "révoquer" le pouvoir de l'Etat américain sur le sujet.
Selon un groupe parlementaire britannique qui fait office de conseil en matière de technologies et de sciences, le simple fait de renouveler le parc automobile par des véhicules propres ne suffira pas à atteindre les objectifs de CO2. Pour cela, il faudrait surtout produire moins de voitures et réduire le véhicule particulier.
La ville américaine de Minneapolis a pris une décision inédite pour réduire la pollution locale et le risque d'accidents : l'interdiction de la construction de tout nouveau "drive through", que ce soit pour des ventes de boissons ou pour l'alimentaire.
Dès 2021, les constructeurs devront respecter une limite de 95 g/km de CO2 moyenne sur l'ensemble de leur catalogue (pondéré par les ventes). PSA, Volkswagen Group ou encore Hyundai-Kia sont mal partis pour y parvenir à temps.