À l’occasion de la publication des résultats 2023 de Stellantis, Carlos Tavares a accordé un entretien à quelques médias dont Caradisiac. L’occasion de commenter l’actualité française, comme l’arrêt brutal du leasing social, mais aussi d’évoquer la conjoncture à venir et même son éventuelle succession en 2026.
Avec un bénéfice de 18,6 milliards d'euros pour 2024 et une marge opérationnelle de 12,8 % : tout va pour le mieux dans la galaxie de 14 marques. Mais les chiffres auraient pu être encore plus spectaculaires sans le léger fléchissement américain de l'automne dernier.
Le salon Rétromobile bat son plein jusqu'à demain soir. On y découvre des merveilles qui font polémiques, des sportives de rêves et des autos moins chères. Loin de la Porte de Versailles, le patron de Stellantis nourrit et laisse courir les rumeurs sur d'éventuelles fusions à venir.
Les prochaines échéances électorales, européennes et américaines, sont scrutées de près par l'industrie automobile. Son avenir est peut-être lié aux choix des électeurs lors des consultations de juin dans l'Union, et de novembre aux États-Unis. Explications.
Le patron du groupe Stellantis a peur que les élections à venir au sein de la Commission européenne et aux Etats-Unis n’entraînent d’importants changements de stratégie sur l’électrification du parc automobile mondial.
Le groupe dirigé par Carlos Tavares change totalement sa stratégie en Chine. Stellantis devient actionnaire de la marque Leapmotor à la hauteur de 21% et possèdera les droits de vente de ses voitures en dehors de la Chine. Oui, Stellantis prévoit de vendre des voitures chinoises en Europe !
À l’occasion de la publication des résultats, exceptionnels, de Stellantis au premier semestre, son patron Carlos Tavares a discuté avec quelques médias, dont Caradisiac, pour faire le point sur la situation actuelle, et future, de son groupe.
Cette batterie assure aussi les fonctions de chargeur et d'onduleur, et les modules lithium-ion peuvent être remplacés indépendamment les uns des autres en cas de défaillance. Son arrivée sur le marché est prévue "d'ici la fin de la décennie."
Renault affiche des résultats pour le moins encourageants au premier semestre, dans un contexte qui reste inquiétant pour toute l'industrie automobile.
Le groupe s'apprête à investir dans la production et le déploiement d'un aéronef, le Midnight de chez Archer Aviation. Cette « voiture volante » va-t-elle un jour intégrer le catalogue de Stellantis comme Opel, Peugeot ou Citroën ? Rien n’est moins sûr.