Modèle incontournable chez Citroën, la citadine de la marque revient aujourd’hui sur le devant de la scène dans une nouvelle génération totalement repensée. Au-delà de son style original et de sa motorisation électrique, elle va frapper surtout un grand coup avec son prix de base inférieur à 25 000 € ( 23 300 € précisément pour l'entrée de gamme).
Largement dénoncée pour son manque de fiabilité, la technologie BlueHDi fait, enfin, l’objet de rappels officiels. Citroën, DS Automobiles, Fiat, Opel et Peugeot sont en train de contacter leurs clients.
Le mois de septembre annonce la rentrée, avec pour certains son lot de nouveautés. Besoin d’une voiture pour un nouveau travail, se rendre à l’université, ou pour toute autre raison tout en ayant un budget limité ? La tâche peut sembler ardue, mais Caradisiac vous accompagne au mieux pour faire le bon choix.
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Comme leur nom l'indique, les citadines sont destinées à un usage majoritairement urbain. Pour se faufiler, elles sont de petite taille. Cette catégorie se segmente en deux : d'un côté les minicitadines (type Renault Twingo), vraiment courtes, de l'autre les polyvalentes (type Peugeot 208), un peu plus grandes. Voici les meilleures sur le marché de la seconde main.
Et oui, la petite voiture électrique abordable de Citroën va s’inspirer du concept-car Oli.
Cette nouvelle Citroën C3 est différente de celle qui arrivera sur notre marché d’ici l’année prochaine. Heureusement car son niveau de sécurité paraît moyennement compatible avec les normes européennes.
A l’occasion d’une rencontre avec une poignée de journalistes, le nouveau patron de Citroën Thierry Koskas a dévoilé les grands axes de la relance de la marque. Première étape, le lancement d’une C3 électrique à moins de 25 000 € en début d’année prochaine.
Un modèle français a reçu le prix « World Urban Car », qui récompense l’attractivité d’une voiture présente sur au moins deux continents. Pourtant, cette auto n’est pas commercialisée chez nous.
24 heures après les excellents résultats du groupe Stellantis, et les piètres chiffres de Citroën, l'une de ses marques, le directeur général des chevrons, Vincent Cobée, cède sa place. Le signe d'une crise au sein de la maison qui paie notamment ses errements en matière de design.
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Lors du récent Mondial de l'auto, le patron de Stellantis promettait, devant le chef de l'État, qu'il allait assembler 12 modèles électriques en France. Patatras : un mois plus tard, il fait volte-face en expliquant que la fabrication de voitures zéro émissions est trop coûteuse en Europe. Renoncement ou manœuvre ?
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