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Essai Yamaha N-Max 125 : l'urbain par excellence

Dans Moto / Nouveauté

Damien Lachaize

Essai Yamaha N-Max 125 : l'urbain par excellence

Révélé pour la première fois en Indonésie en février dernier, le Yamaha N-Max 125 (MBK Ocito) débarque officiellement sur le marché français et européen. Fabriqué sur place, ce scooter urbain est destiné à une diffusion mondiale avec pour principal concurrent le Honda PCX, véritable best-seller sur le segment des scooters urbains économiques. Un défi à la portée du N-Max, dont la commercialisation interviendra au mois de juillet à un prix aux alentours de 3000 €.


Yamaha et Honda semblent se livrer une belle bataille cette année. Si la firme ailée a (enfin) répondu au X-Max avec le Forza, Yamaha riposte avec ce N-Max venant marcher sur les plate-bandes du PCX, leader sur ce fructueux marché depuis sa sortie en 2010. La firme aux trois diapasons dégaine un concurrent sérieux car le N-Max (MBK Ocito) intègre la catégorie des scooters urbains, là où le Majesty S ne semble pas avoir trouvé sa clientèle, tout juste un an après sa sortie. La faute à un tarif beaucoup trop élevé malgré une réévaluation effectuée en début d'année. Compact, sportif et livré avec l'ABS de série, le N-Max a tout pour réussir. Leader au Portugal, Yamaha nous a tout naturellement confié le guidon dans les rues de Lisbonne lors de la présentation européenne.


comme un air de famille


Fabriqué en Indonésie, le N-Max (MBK Ocito) ne peut renier sa filiation évidente avec ces illustres ainés T-Max et X-Max, avec en prime une identité visuelle à caractère sportive que ne possède pas le PCX même si la dernière mise à jour de ce dernier s'est légèrement radicalisé. Les feux, équipés de la technologie à Led, laissent apparaître une forme en boomerang. Les formes arrière, légèrement arrondies, sont bien proportionnées et donnent à l'ensemble un gage d'homogénéité. La finition générale n'appelle à aucune critique, et la présence de quelques vis disgracieuses ne vient en aucun cas ternir le résultat.


Sous les yeux du pilote tombe un tableau de bord rétro-éclairé à écran LCD, reprenant quelques gênes de celui sur le Neo's/Ovetto. Ici, le superflu n'a pas sa place, mais l'utilisateur dispose d'une instrumentation parfaitement lisible et complète : jauge à essence à tablettes, compteur de vitesse, deux trips partiels, indicateur de consommation instantanée, odomètre, voltage de la batterie, sans oublier les témoins d'usage comme l'apparition de celui de l'ABS. Malheureusement, les comodos embarquent le strict minium et l'on fait l'impasse sur les commandes de warning, de plus, il ne faut pas compter sur un port USB. Toutefois, on note la présence d'un volet anti-effraction comme sur la plupart des productions asiatiques et qui tend à se démocratiser.


Essai Yamaha N-Max 125 : l'urbain par excellence


Au chapitre pratique, le N-Max se défend plutôt bien : la soute (non moquettée) s'ouvre au moyen de la clé de contact et se trouve retenue par la présence d'un vérin hydraulique. La superficie offerte permet l'emport d'un casque jet à écran de type Schuberth. Le tablier intègre deux vide-poches ouvertes suffisant pour y glisser une bouteille d'eau format 50 cl. On aurait apprécié une boite à gants verrouillable à clé. Toutefois, la firme aux trois diapasons prévoit de remédier grâce à un catalogue d'accessoires comprenant notamment l'ajout d'un porte-paquet afin d'y fixer un top-case. De plus, un pare-brise haut est également disponible pour pallier le manque de protection offert par le petit saute-vent d'origine.


ergonomie pour les petits et les grands


Béquillés et parfaitement alignés aux abords de l'hôtel, les N-Max se déclinent en quatre choix de coloris : rouge, bronze, noir et blanc. Une fois notre numéro attribué (en l'occurrence le rouge), il n' y a aucun mal à se glisser à bord. L'ergonomie convient à tous et les grands gabarits ne sont pas gênés au niveau des genoux. Comme le Honda PCX, le N-Max ne présente pas de plancher plat mais il faut faire avec un long tunnel central où se trouve le bouchon de réservoir. Les longs marchepieds permettent d'étendre correctement les pieds sans toutefois atteindre la position de conduite d'un GT. La hauteur de selle de 765 mm facilite l'accès à bord, ainsi, toutes les morphologies se sentiront à l'aise et l'on prends plaisir au guidon grâce à un ''cintre'' étroit et assez rapproché du buste.


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