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Commentaires - Minuit à Paris, une somptueuse Peugeot 184...

Serge Bellu

Minuit à Paris, une somptueuse Peugeot 184...

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La ''Peugeot 174 S habillée sportivement par Labourdette'', c'est clairement l'ancêtre de la 408 et plus généralement des SUV ''coupé''. :beuh:

Par

Encore un SUV .

C'est pratique, il fait aussi cabriolet, quand on ne sait que choisir.

En avance pour la conduite autonome peut-être.

Je me demande si le diamètre des roues est du 25 pouces , ou plus ?

Ça ne doit pas être pratique pour les parkings sous-terrains , entre la hauteur équivalente à un J7 et certainement un diamètre de braquage élevé.

Je me demande combien cela pouvait valoir à l'époque...

Par

Peugeot en recréant DS est à nouveau rentré dans l'univers du luxe .

une DS 9 est très chère pour ses solutions techniques, elle est fabriquée dans les lointaines usines chinoises , et sa rareté en font un modèle à collectionner.

Par

En réponse à Pourquoi pas...

La ''Peugeot 174 S habillée sportivement par Labourdette'', c'est clairement l'ancêtre de la 408 et plus généralement des SUV ''coupé''. :beuh:

   

J'ai aussi été marqué par sa modernité !

Par

En réponse à Maître-Yoda

J'ai aussi été marqué par sa modernité !

   

Ah moi c'est plutôt l'archaïsme des formes d'automobiles actuelles qui me frappent :)

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Par

Et puis un jour Peugeot a ranimé Talbot . Pour faire la Samba .

Par

En réponse à Pat ira pas loin

Peugeot en recréant DS est à nouveau rentré dans l'univers du luxe .

une DS 9 est très chère pour ses solutions techniques, elle est fabriquée dans les lointaines usines chinoises , et sa rareté en font un modèle à collectionner.

   

DS, c'est l'héritage Citroën, pas Peugeot. :bien:

Par

En réponse à Salva

Et puis un jour Peugeot a ranimé Talbot . Pour faire la Samba .

   

C'est vite oublier aussi les 604, 505, 605 et 607 qui, dans leurs versions haut de gamme et les plus puissantes, n'avaient pas grand chose à envier aux meilleures rivales allemandes de leurs époques.

Par

Somptueuse et Peugeot dans la même phrase ? Il faut arrêter la tisane ! Ou bien SOMP-tueuse du bon goût : je préférais de la même époque BUGATTI.

Par

En réponse à Pourquoi pas...

La ''Peugeot 174 S habillée sportivement par Labourdette'', c'est clairement l'ancêtre de la 408 et plus généralement des SUV ''coupé''. :beuh:

   

:bien: C'est la première remarque qui m'est également venue à l'esprit !

Concernant le fait que Peugeot ou Renault aient construit des véhicules de grand luxe, cela fait partie de leur histoire et montre que la vie d'un constructeur est rarement linéaire.

La crise de 29 n'est pas seule responsable de la disparition des modèles de prestige, le plan Pons, après la seconde guerre mondiale, a complètement modifié l'histoire des marques automobiles Françaises, en définissant un rôle précis aux grands constructeurs qui étaient contraints de l'appliquer : et c'est ainsi que les petits constructeurs Français prestigieux disparurent et que ceux qui ont survécu (Peugeot Renault Citroën) durent se concentrer sur ce que l'état leur imposait, délaissant les automobiles de grand luxe :bah:

Par

Il serait largement temps pour Woody Allen de songer à la retraite.

La vision de carte postale de Paris d'un bobo-intello-de-gauche-juif-New Yorkais qui nous inflige depuis 40 ans sa psychanalyse de bazar commence à être vraiment dépassée.

Woody Allen fait partie de ces cinéastes TRES surfaits, beaucoup plus apprécié en France qu'aux USA.

Et puisqu'on en est aux condamnations à mort médiatiques des mâles blancs hétérosexuels de + de 50 ans, le silence et l'indulgence des médias sur les accusations de sa fille adoptive, alors âgée de 7 ans, est révélateur des condamnations à géométrie variable.

Mais on a bien compris qu'être de gauche est un "totem d'immunité"....

Par

En réponse à Gofdolfo

Somptueuse et Peugeot dans la même phrase ? Il faut arrêter la tisane ! Ou bien SOMP-tueuse du bon goût : je préférais de la même époque BUGATTI.

   

C'est sûr que quand on glorifie la gamme ID on s'y connait en bon goût ! :areuh:

Mais il est bien de reconnaître que Bugatti est une marque Française et non Allemande ou Italienne :bah:

Bugatti qui au passage est mort de la folie des grandeurs de son créateur...

Par

En réponse à Salva

Et puis un jour Peugeot a ranimé Talbot . Pour faire la Samba .

   

Talbot est effectivement la dernière marque historique de prestige français ... du moins

avant sa 1ere mort (et si on excepte les quelques derniers modèles équipés d'un moteur de la gamme Simca ... bien avant que Peugeot ne rachète Chrysler Europe et ne ressorte ce légendaire blason de la naphtaline).

On eu ensuite Facel Vega qui tenta joliment l'aventure du très haut de gamme à la française puis Monica (mais avec encore moins de fortune) ...et peut être dans des temps plus récents Venturi, disparu depuis également.

Par

En réponse à smartboy

Talbot est effectivement la dernière marque historique de prestige français ... du moins

avant sa 1ere mort (et si on excepte les quelques derniers modèles équipés d'un moteur de la gamme Simca ... bien avant que Peugeot ne rachète Chrysler Europe et ne ressorte ce légendaire blason de la naphtaline).

On eu ensuite Facel Vega qui tenta joliment l'aventure du très haut de gamme à la française puis Monica (mais avec encore moins de fortune) ...et peut être dans des temps plus récents Venturi, disparu depuis également.

   

Les Facel Vega, ça avait vraiment de la gueule. Le Cadillac français.

Par

Moi je récupère les compos de courroie de puretech pour en faire des tableaux en relief

Par

En réponse à Pourquoi pas...

Les Facel Vega, ça avait vraiment de la gueule. Le Cadillac français.

   

Effectivement de superbes autos motorisées par de gros blocs américains. Mais a cause de l'état la marque a coulé : la Facelia, lancée avec un moteur français pas au point et peu fiable (tien ce n'est pas nouveau diront les mauvaises langues :biggrin:)a ruiné la marque en sav. Mais comme Facel Vega travaillait avec les américains pour les grosses motorisations, la marque n'a pas pu obtenir de prêt supplémentaire garanti par l'état pour sauver l'entreprise : sa disparition est donc hélas avant tout politique.

Par

En réponse à matrix71

Moi je récupère les compos de courroie de puretech pour en faire des tableaux en relief

   

On attend de voir le résultat avec impatience :biggrin:

Par

En réponse à smartboy

C'est sûr que quand on glorifie la gamme ID on s'y connait en bon goût ! :areuh:

Mais il est bien de reconnaître que Bugatti est une marque Française et non Allemande ou Italienne :bah:

Bugatti qui au passage est mort de la folie des grandeurs de son créateur...

   

"de la folie des grandeurs de son créateur"

Bugatti a survécu à la Type 41 et à la crise de 29, notamment grâce au succès de la Type 57 dans les années 30.

Je pense plutôt que la première mort de la firme est due à une série d'évènements rapprochés dans le temps : la mort de Jean Bugatti, très impliqué dans la gestion et la conception, la seconde guerre mondiale, le plan Pons, la mort d'Ettore Bugatti en 1947 et le manque de compétence de son successeur Rolland Bugatti.

Par

En réponse à Vicomte Lamorgue

"de la folie des grandeurs de son créateur"

Bugatti a survécu à la Type 41 et à la crise de 29, notamment grâce au succès de la Type 57 dans les années 30.

Je pense plutôt que la première mort de la firme est due à une série d'évènements rapprochés dans le temps : la mort de Jean Bugatti, très impliqué dans la gestion et la conception, la seconde guerre mondiale, le plan Pons, la mort d'Ettore Bugatti en 1947 et le manque de compétence de son successeur Rolland Bugatti.

   

C' est surtout du fait que ce constructeur n' a pas fait l' objet d' investissements par des ... investisseurs , comme Aston Martin , Ferrari, Jaguar ou Maserati .

Par

En réponse à Gofdolfo

Somptueuse et Peugeot dans la même phrase ? Il faut arrêter la tisane ! Ou bien SOMP-tueuse du bon goût : je préférais de la même époque BUGATTI.

   

Delage, Delahaye sont certainement des marques qui ont portées très haut le dessin automobile.

Par

Une époque où l' on pouvait acheter un châssis seulement pourvu de la mécanique, et choisir un carrossier pour habiller l' ensemble.

Dommage qu' on ne puisse plus recourir à ce procédé.

Par

En réponse à smartboy

C'est sûr que quand on glorifie la gamme ID on s'y connait en bon goût ! :areuh:

Mais il est bien de reconnaître que Bugatti est une marque Française et non Allemande ou Italienne :bah:

Bugatti qui au passage est mort de la folie des grandeurs de son créateur...

   

Contre vérité...A l'époque où l'entreprise Bugatti est née l'Alsace-Lorraine était allemande. E n'est qu'après 1918 qu'elle a été francisée.

Par

En réponse à patrickdutour77

Delage, Delahaye sont certainement des marques qui ont portées très haut le dessin automobile.

   

Bien d'accord ! L'époque était autre... Après guerre on est retombé dans le populo généraliste.

Par

En réponse à smartboy

Effectivement de superbes autos motorisées par de gros blocs américains. Mais a cause de l'état la marque a coulé : la Facelia, lancée avec un moteur français pas au point et peu fiable (tien ce n'est pas nouveau diront les mauvaises langues :biggrin:)a ruiné la marque en sav. Mais comme Facel Vega travaillait avec les américains pour les grosses motorisations, la marque n'a pas pu obtenir de prêt supplémentaire garanti par l'état pour sauver l'entreprise : sa disparition est donc hélas avant tout politique.

   

Exact !!! ... et comme le Général De Gaulle voulait favoriser la régie Renault qui avait récemment été nationalisée... il a pesé pour clouer le cercueil de Facel Vega

Par

En réponse à Vicomte Lamorgue

"de la folie des grandeurs de son créateur"

Bugatti a survécu à la Type 41 et à la crise de 29, notamment grâce au succès de la Type 57 dans les années 30.

Je pense plutôt que la première mort de la firme est due à une série d'évènements rapprochés dans le temps : la mort de Jean Bugatti, très impliqué dans la gestion et la conception, la seconde guerre mondiale, le plan Pons, la mort d'Ettore Bugatti en 1947 et le manque de compétence de son successeur Rolland Bugatti.

   

Bien résumé ! :bien:

Par

En réponse à Gofdolfo

Contre vérité...A l'époque où l'entreprise Bugatti est née l'Alsace-Lorraine était allemande. E n'est qu'après 1918 qu'elle a été francisée.

   

Ce qui ne change rien au propos de Smartboy. Pour désigner la nationalité des marques automobiles, c'est le droit du sol qui s'applique. L'Alsace ayant été récupérée par la France alors que Bugatti était en activité et que cette dernière n'a pas déménagé pour rester dans les frontières allemandes, Bugatti est une marque française.

Pour appuyer ce point de vue, on peut remarquer qu'après son bref retour à Milan au début de la guerre, il aurait pu retourner en Allemagne. Mais non, il a fait le choix de Paris (ça se passe avant le traité de Versailles, je précise) puis est revenu en Alsace après la fin de la guerre. Et les moteurs d'avion qu'il a conçu en 14-18 ont servi au camp français et non pas à l'Allemagne et ses alliés. Il savait et approuvait donc que Bugatti était une marque française.

Par ailleurs, c'est après 1918, en tant que marque française donc, que Bugatti a réalisé ses chefs d'oeuvre qui l'ont fait rentrer dans l'histoire : Type 35, Type 41, Type 46, Type 55, Type 57, l'autorail des chemins de fer de l'Etat.

Par

En réponse à Salva

C' est surtout du fait que ce constructeur n' a pas fait l' objet d' investissements par des ... investisseurs , comme Aston Martin , Ferrari, Jaguar ou Maserati .

   

Quand les premiers investisseurs externes à l'entreprise sont arrivés, Jaguar, Aston Martin, Ferrari et Maserati avaient la chance d'avoir déjà une certaine vitalité (qui a justement attiré lesdits investisseurs).

Après guerre, Bugatti, avec son obsolète Type 101, recyclage de technologies d'avant guerre, et son unique et calamiteuse saison en monoplace, n'était plus que l'ombre de son cadavre.

Par

En réponse à Vicomte Lamorgue

Quand les premiers investisseurs externes à l'entreprise sont arrivés, Jaguar, Aston Martin, Ferrari et Maserati avaient la chance d'avoir déjà une certaine vitalité (qui a justement attiré lesdits investisseurs).

Après guerre, Bugatti, avec son obsolète Type 101, recyclage de technologies d'avant guerre, et son unique et calamiteuse saison en monoplace, n'était plus que l'ombre de son cadavre.

   

Je parlais de la période immédiate à l' après-guerre .

Aston Martin était racheté par David BROWN, financé par ses tracteurs, Ferrari sortait la 125 S en 1947 , Jaguar la XK 120 en 1948 avec un moteur d' anthologie .

Et Bugatti ? - " ' Connais pas ! " répondrait l' autre ... Disparue .

Dommage qu' un investisseur passionné n' ai pas apparu pour reprendre l' affaire . On parle de la marque la plus prestigieuse d' avant-guerre, et le vainqueur du 1er Grand Prix d' après-guerre, quand même . Qui ne demandait qu' à repartir .

Par

En réponse à Pourquoi pas...

C'est vite oublier aussi les 604, 505, 605 et 607 qui, dans leurs versions haut de gamme et les plus puissantes, n'avaient pas grand chose à envier aux meilleures rivales allemandes de leurs époques.

   

C'est un point de vue, pour autant elles n'existent quasiment plus au contraire de leurs rivales qui n'en étaient pas vraiment, motorisations finition prix on ne boxait pas dans la même catégorie. les françaises (vous pouvez ajoutez la R30 à la même époque) proposaient un bon confort et une tenue route rassurante mais étaient incapables de s'aligner sur les standards de qualité des allemandes. Paradoxalement c'est moins vrai aujourd'hui et cela le sera de moins en moins avec l'arrivée du VE qui bouleverse la suprématie des meilleurs motoristes.

Par

Le confort des françaie n'était que la partie émergée de l'iceberg.

Les moteurs plutôt fiables, sauf les accessoires

Les matériaux intérieurs indigents, sentant la colle et pannes à répétitions sur R30 déjà dans les années 70/80

Par

Tiens, je pensais voir s'exciter l'objectif, le bucheron et les quelques autres excités habituels sur cette news...:cyp:

En tout cas, Peugeot... 184, ça m'a clairement intrigué, je ne connaissais pas.

 

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