Par integralhf
Clint et Gran Torino un must
Ford s'acoquine avec le festival de Deauville
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Par integralhf
Clint et Gran Torino un must
Par Jetstream
Il y a une autre Gran Torino(74 il me semble) dans Starsky et Hutch le film(enfin je devrais dire le navet).
Par Fordthemust
En réponse à Jetstream
Il y a une autre Gran Torino(74 il me semble) dans Starsky et Hutch le film(enfin je devrais dire le navet).
Oh oui c'est vrai, le film c'était un vrai navet par contre la série était génial
Par matrix71
La Mustang si réellement elle avait roulé dans le sable...elle se serait enlisé et fini au milieu des bloquos
Par Jetstream
En réponse à Fordthemust
Oh oui c'est vrai, le film c'était un vrai navet par contre la série était génial
Et en parlant de série massacrée, on évitera de parler du film Shérif fais-moi peur.
Par Fordthemust
En réponse à matrix71
La Mustang si réellement elle avait roulé dans le sable...elle se serait enlisé et fini au milieu des bloquos
N'importe quelle voiture peut rouler dans le sable la où a été tourné le film, réfléchi un peu avant de raconter des histoires.
Par Fordthemust
En réponse à Jetstream
Et en parlant de série massacrée, on évitera de parler du film Shérif fais-moi peur.
Ah oui mais c'était une Dodge Charger de 69, une sacrée voiture
Par deville70
En réponse à Fordthemust
Oh oui c'est vrai, le film c'était un vrai navet par contre la série était génial
Je crois me souvenir qu' à l' origine, ça aurait dû être une Chevrolet Camaro en lieu et place de la Ford Gran Torino. Mais les producteurs et GM ne se sont pas mis d' accord pour X raisons. On s' est alors tourné vers la Ford Motor Company qui a bien voulu, mais à condition de mettre l' accent sur des Ford, Mercury et Lincoln bien en vue au cours des épisodes. J' en veux pour exemple la poursuite entre la Ford Gran Torino et une Lincoln Town Car dans le générique de la saison 1, notamment.
Par o.s.
Petit rappel: Un homme et une femme est un film français ... et pas americain pour deux sous...
Par franpir21
Un hommage à l'automobile en forme de requiem.
On a hâte de voir le remake de Bullitt avec les arrêts de la Mustang E à la borne de recharge en pleine course poursuite...
Et Gran Torino avec un SUV Ford Kuga hybride superéthanol.
Par Jeff812
L’auteur de cet article connaît certainement mieux l’automobile que le cinéma : Bullitt est un excellent film du point de vue jeu, esthétique, mode, architecture, photos et bien d’autres aspects qui seraient très long à développer ici, malgré un scénario inutilement obscur. En revanche Le Mans est considéré comme un nanar farci de contre-vérités pour les gens encore vivants qui étaient dans l’entourage d’E. Ferrari(non Enzo n’a pas fait monter les enchères avec Fiat : le rachat s’est produit beaucoup plus tard que l’époque des contacts avec Ford, et dans un tout autre contexte, et bien d’autres mensonges). Par ailleurs, que dire d’une « victoire » avec 20 fois plus de budget? (Oui, vingt fois). Le film Le Mans avec Mac Queen a superbement vieilli malgré la encore un scénario pauvre, mais encore une fois Mc Queen privilégiait l’art esthétique, comme Melville par exemple. Le Mans 66 n’est pas un mauvais film, c’est un très mauvais film, comme le dernier film sur les rapports Entre Ferruccio Lamborghini et Enzo Ferrari : une très mauvaise et totalement inexacte farce (Ferrari assez précieux et maniéré, en Bentley avec chauffeur, n’importe quoi, etc…..). Clint Eastwood est un réalisateur et un homme plein d’humanité, avec des messages profonds, bien que son style de réalisation soit ultra-classique.
Par Jeff812
Errata : il faut lire Le Mans 66 au lieu de Le Mans à la sixième ligne.
Par roc et gravillon
Eh Jeff... on croirait lire les Cahiers du Cinéma...
Par CarMars
Le Mans 66 n'est pas un mauvais film, c'est un très très bon film,revu dernièrement avec grand plaisir.
Par franpir21
En réponse à Jeff812
L’auteur de cet article connaît certainement mieux l’automobile que le cinéma : Bullitt est un excellent film du point de vue jeu, esthétique, mode, architecture, photos et bien d’autres aspects qui seraient très long à développer ici, malgré un scénario inutilement obscur. En revanche Le Mans est considéré comme un nanar farci de contre-vérités pour les gens encore vivants qui étaient dans l’entourage d’E. Ferrari(non Enzo n’a pas fait monter les enchères avec Fiat : le rachat s’est produit beaucoup plus tard que l’époque des contacts avec Ford, et dans un tout autre contexte, et bien d’autres mensonges). Par ailleurs, que dire d’une « victoire » avec 20 fois plus de budget? (Oui, vingt fois). Le film Le Mans avec Mac Queen a superbement vieilli malgré la encore un scénario pauvre, mais encore une fois Mc Queen privilégiait l’art esthétique, comme Melville par exemple. Le Mans 66 n’est pas un mauvais film, c’est un très mauvais film, comme le dernier film sur les rapports Entre Ferruccio Lamborghini et Enzo Ferrari : une très mauvaise et totalement inexacte farce (Ferrari assez précieux et maniéré, en Bentley avec chauffeur, n’importe quoi, etc…..). Clint Eastwood est un réalisateur et un homme plein d’humanité, avec des messages profonds, bien que son style de réalisation soit ultra-classique.
Un film est une oeuvre de fiction.
C'est toute la différence entre "le Mans" de Steve Mc Queen, très (trop ?) proche du documentaire, pratiquement sans scénario ni dialogues (au grand désespoir des producteurs) et "le Mans 66" qui utilise une matrice d'évènements réels (la lutte fratricide entre Enzo Ferrari et Henry Ford II) pour en tirer une création qui n'a pas vocation à respecter scrupuleusement tous les détails de la véracité historique.
En fait, on se fout totalement de savoir à quel moment Ferrari a utilisé Ford pour faire monter les enchères chez Fiat.
Ce qui fait l'intérêt d'un film, c'est la dimension romanesque et son appel à l'imaginaire du spectateur.
Toute la magie du cinéma est là.
Par Jeff812
En réponse à franpir21
Un film est une oeuvre de fiction.
C'est toute la différence entre "le Mans" de Steve Mc Queen, très (trop ?) proche du documentaire, pratiquement sans scénario ni dialogues (au grand désespoir des producteurs) et "le Mans 66" qui utilise une matrice d'évènements réels (la lutte fratricide entre Enzo Ferrari et Henry Ford II) pour en tirer une création qui n'a pas vocation à respecter scrupuleusement tous les détails de la véracité historique.
En fait, on se fout totalement de savoir à quel moment Ferrari a utilisé Ford pour faire monter les enchères chez Fiat.
Ce qui fait l'intérêt d'un film, c'est la dimension romanesque et son appel à l'imaginaire du spectateur.
Toute la magie du cinéma est là.
C’ est un point de vue respectable et argumenté. Mais le passionné que je suis attend plutôt une œuvre proche de la vérité, sinon autant partir d’un récit imaginaire. C’est comme cela que j’attends un film sur un épisode réel de l’histoire de l’automobile.
Par Jeff812
En réponse à franpir21
Un film est une oeuvre de fiction.
C'est toute la différence entre "le Mans" de Steve Mc Queen, très (trop ?) proche du documentaire, pratiquement sans scénario ni dialogues (au grand désespoir des producteurs) et "le Mans 66" qui utilise une matrice d'évènements réels (la lutte fratricide entre Enzo Ferrari et Henry Ford II) pour en tirer une création qui n'a pas vocation à respecter scrupuleusement tous les détails de la véracité historique.
En fait, on se fout totalement de savoir à quel moment Ferrari a utilisé Ford pour faire monter les enchères chez Fiat.
Ce qui fait l'intérêt d'un film, c'est la dimension romanesque et son appel à l'imaginaire du spectateur.
Toute la magie du cinéma est là.
Il est vrai que Le Mans tout court (pas 66) a souffert des divergences (le mot est faible) et arrêts momentanés du tournage. Mais cela lui donne au final beaucoup de charme, par exemple le réveil des campeurs, la scène bucolique du début avec la 911 personnelle de l’acteur. Les bruits des moteurs sont réels aussi. Je le revois avec un immense plaisir.
Par Jeff812
En réponse à franpir21
Un film est une oeuvre de fiction.
C'est toute la différence entre "le Mans" de Steve Mc Queen, très (trop ?) proche du documentaire, pratiquement sans scénario ni dialogues (au grand désespoir des producteurs) et "le Mans 66" qui utilise une matrice d'évènements réels (la lutte fratricide entre Enzo Ferrari et Henry Ford II) pour en tirer une création qui n'a pas vocation à respecter scrupuleusement tous les détails de la véracité historique.
En fait, on se fout totalement de savoir à quel moment Ferrari a utilisé Ford pour faire monter les enchères chez Fiat.
Ce qui fait l'intérêt d'un film, c'est la dimension romanesque et son appel à l'imaginaire du spectateur.
Toute la magie du cinéma est là.
Je suis il est vrai « déformé » par mon intérêt immodéré pour la firme italienne et son dirigeant.
Par Jeff812
En réponse à CarMars
Le Mans 66 n'est pas un mauvais film, c'est un très très bon film,revu dernièrement avec grand plaisir.
L’intérêt de faire un film sur un homme armé d’un 357 magnum qui a battu un autre équipé d’un simple lance-pierre est très discutable. Quand au film en lui-même, je ne lui trouve aucun génie photographique, ni concernant la technique de tournage. Seul l’acteur interprétant Henry Ford (j’ai oublié son nom) est impressionnant de sobriété et certainement de justesse. Son jeu est un excellent souvenir. Pour le reste….je ne parviens pas à être fan.
Par Jeff812
J’ai par exemple un avion avis sur le film concernant Lauda et Hunt : il ne tombe pas dans la caricature, soulignant l’humour de Lauda et aussi une certaine droiture de Hunt, sous des dehors fêtards et désinvoltes.
Par Jeff812
Autre erreur grossière de Le Mans 66 : Enzo Ferrari ne se rendait JAMAIS sur les courses, encore moins au Mans. Le filmer quittant le circuit en ralant n’apporte rien au film je trouve.
Par smartboy
J'espère que chez Ford, durant le festival, ils ont fait la fiesta !
Par Fordthemust
En réponse à deville70
Oui, au fin fond de la Sierra!
Ils ont même prévu des Escort... C' est tout un monde hé ho!
Super jeu de mot
Par Fordthemust
En réponse à deville70
Je crois me souvenir qu' à l' origine, ça aurait dû être une Chevrolet Camaro en lieu et place de la Ford Gran Torino. Mais les producteurs et GM ne se sont pas mis d' accord pour X raisons. On s' est alors tourné vers la Ford Motor Company qui a bien voulu, mais à condition de mettre l' accent sur des Ford, Mercury et Lincoln bien en vue au cours des épisodes. J' en veux pour exemple la poursuite entre la Ford Gran Torino et une Lincoln Town Car dans le générique de la saison 1, notamment.
Oui c'est vrai, j'avais lu un truc la dessus
Par nous75again
"C’est celle de Steve Mc Queen dans Bullitt et sa fameuse course-poursuite. Ce morceau de bravoure est d’ailleurs l’une des seules scènes remarquables d’un film qui ne figure pas parmi les chefs d’œuvre du siècle. "
Sans deconner Bullit ne vaut que par sa scene de poursuite ????
Par fedoismyname
En réponse à Jeff812
C’ est un point de vue respectable et argumenté. Mais le passionné que je suis attend plutôt une œuvre proche de la vérité, sinon autant partir d’un récit imaginaire. C’est comme cela que j’attends un film sur un épisode réel de l’histoire de l’automobile.
Dans ce cas, c'est un documentaire, qu'il te faut voir, et non un film, dont on sait que par défaut, il n'est jamais une adaptation fidèle de la réalité à 100 %.
D'ailleurs, le charisme et physique des acteurs n'ont généralement rien à voir avec ceux des personnages historiques.
Par fedoismyname
En réponse à nous75again
"C’est celle de Steve Mc Queen dans Bullitt et sa fameuse course-poursuite. Ce morceau de bravoure est d’ailleurs l’une des seules scènes remarquables d’un film qui ne figure pas parmi les chefs d’œuvre du siècle. "
Sans deconner Bullit ne vaut que par sa scene de poursuite ????
Je suppose qu'il voulait simplement dire que c'est un très bon film (polar, en l'occurrence), à défaut d'être un chef d'oeuvre.
ça n'en reste pas moins autrement mieux qu'un fast & furious, avec un scénario et des acteurs en roue libre et des séquences automobiles qui n'ont rien de réalistes.
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