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Hier, le patron de Tesla Elon Musk avait la tête dans les étoiles avec sa fusée ayant envoyé autour de la planète son premier modèle roadster. Aujourd’hui, il lui faut redescendre sur terre et travailler sur la mise en orbite d’un Model 3 qui doit faire entrer la marque dans le club des grands constructeurs. Mais Tesla n'en a livré que 1 550 au quatrième trimestre, contre 4 100 exemplaires anticipés par les experts. De plus, les soucis de production ont jeté comme un doute sur la qualité et la finition des produits sortis de ses usines. Mais comme toujours, Tesla contre-attaque avec une communication bien ficelée tandis que les marchés financiers se montrent indulgents à son égard.

Mission réussie pour Falcon Heavy, la fusée d'Elon Musk, qui a libéré dans l'espace une Tesla, qui doit prendre la direction de Mars. Les images du roadster en orbite autour de la Terre sont de toute beauté.

Lorsque le patron Elon Musk l’avait annoncé, on pensait à un canular. Mais celui qui préside tant aux destinées de Tesla, marque aux voitures électrisant la route, que de celles de SpaceX, aux fusées partant à la conquête de l’espace, a bel et bien joint l’utile à l’agréable : faire parler de ses automobiles et de ses ambitions spatiales. Son nouveau lanceur lourd montrera sa capacité à remplir des missions en prenant, à son bord, un exemplaire de la première voiture produite par Tesla, le Roadster…

Vous êtes amateur de break et de Tesla ? Si la marque n'a encore rien de tel dans sa gamme, une société anglaise a imaginé une variante grand volume de la Model S.

C’est une charge qui a été lancée par la chaîne américaine CNBC qui a fait une enquête au sein de l’usine Tesla ans le Nevada. Appelée Gigafactory, le reportage veut démontrer qu’il y aurait de quoi fondre un fusible si l’on devait y travailler avec notamment des employés sollicités pour des missions sensibles dont ils ne seraient pas tout à fait au courant des procédures. Une ambiance électrique qui met une fois encore en lumière les difficultés de production rencontrées par la tant attendue Model 3…

Entre voitures connectées de plus en plus présentes et automobiles autonomes dont on parle beaucoup mais qui ne sont pas encore opérationnelles, la confusion est de plus en plus fréquente. D’autant plus que l’avènement sans cesse promis des secondes pousse parfois les fabricants des premières à utiliser des termes séduisant le chaland et positionnant la marque comme leader des modèles de demain. Certes, mais cela peut conduire à des accidents et à des enquêtes parce que les personnes au volant oublient qu’elles sont toujours des conducteurs. Exemple avec ce fait routier aux États-Unis qui concerne Tesla et son dispositif, décidément mal nommé, « Autopilot ».

Coup de chance pour une Tesla Model S, et surtout son propriétaire : un panneau de signalisation a évité la chute d'un panneau photovoltaïque sur la berline électrique.

Une voiture aujourd'hui est souvent bien plus qu'une voiture. C'est un assistant personnel capable de répondre à certains besoins et qui vous guide, vous assiste. Mais tout ceci demande encore de toucher à des écrans, à des boutons. Plus pour longtemps, en revanche, sur la Tesla Model 3 qui proposera un grand nombre de commandes par la voix.

Ce n’est pas la première fois que cela se produit et la dernière avait été réglée à l’amiable. Mais c’est une nouvelle occasion de montrer qu’il faut à présent bien faire attention à ce que l’on suggère et que l’on écrit lorsque l’on vend des voitures. Les approximations et les insinuations d’antan qui alimentaient les discussions de comptoir n’ont plus cours à notre époque qui exige une précision chirurgicale dans chaque démarche dans tous les domaines. Sinon, on se retrouve dans un tribunal. Ainsi Tesla en Norvège.

La nouvelle génération de Roadster verra le jour d'ici quelques années, après que la marque américaine se soit concentrée sur la montée en cadence de la Model 3. En attendant, la sportive prend la lumière du jour avec le designer en chef de Tesla à son volant.