En plus de fêter ses soixante ans, la 500 s'offre une nouvelle série spéciale dans le cadre du salon de Genève. Baptisée "Mirror", elle fait la part belle au Mirrorlink, une technologie qui permet d'avoir l'interface de son téléphone sur l'écran de l'auto. Uniquement proposée avec le petit essence de 69 ch, cette 500 démarre à 13 990 €.
Le patron du groupe Volkswagen a visiblement changé d'avis au sujet de Fiat. A l'ouverture du salon de Genève, il annonçait que les discussions en vue d'un possible rapprochement avec l'italien n'étaient "pas le problème de Volkswagen". Aujourd'hui, Matthias Müller laisse finalement une porte entre-ouverte à Sergio Marchionne pour des négociations.
L'actuelle Fiat 500 fait partie de ces autos qui vieillissent et qui le font bien. Elle reste l'une des meilleures de la catégorie et ses ventes continues de croître malgré son âge avancé. La relève est tout de même en chemin et Fiat va enfin se débarrasser du diesel pour le remplacer par un inédit hybride 48V.
La 500 est incontestablement le modèle incontournable de chez Fiat et quand il n’y a pas d’actualité le constructeur italien est devenu le spécialiste de la série spéciale. Nouvel exemple en date avec cette série spéciale exposée à Genève qui célèbre un double anniversaire : les 60 ans de la 500 mais également les 10 ans de la version moderne.
Entre le patron de Fiat, Sergio Marchionne, et le plus haut placé du groupe Volkswagen, Matthias Müller, c'est un peu "je t’aime, moi non plus". Le premier était confiant que Volkswagen allait discuter d'une éventuelle alliance, mais le second a été catégorique lors du salon de Genève en affirmant que Volkswagen avait "d'autres problèmes".
Pas de grande nouveauté chez Fiat à Genève. Pour attirer l'attention, l'italien propose une énième série spéciale de la 500. Mais elle est cette fois hautement symbolique, puisqu'elle fête les 60 ans de l'auto (et les 10 ans de la version moderne).
L'organisme indépendant vient d'envoyer dans le mur six voitures. Trois ont décroché les célèbres cinq étoiles, dont le Toyota C-HR. Mais la nouvelle citadine de Citroën n'en a eu que quatre. Les Fiat 500 et Ford Ka+ ont tout juste la moyenne.
Bancales, originales, en trop dans leur gamme ou encore démodées par les incontournables SUV : elles ont été classées sans suite. Absentes des concessions depuis quelques mois voire quelques semaines, elles ont aussi quasiment quitté nos mémoires. Elles se rappellent toutefois à notre bon souvenir quand parfois on les croise dans la rue.
Derniers réglages pour la citadine Fiat Panda restylée. Un mulet a été immortalisé dans la neige en Suède par un photographe indiscret. Ce nouveau cru offrira au modèle de la personnalisation très poussée du côté des matériaux et des couleurs.
Heureux sont les ignorants dit-on et dans le cas de l’industrie automobile, on se persuade qu’il en était mieux ainsi avant. Avant quoi ? Le « dieselgate » bien sûr qui a porté un coup à la crédibilité de cet univers jusque-là libre comme l’air. Mais maintenant qu’on les identifie comme des pollueurs, l’atmosphère a changé. Volkswagen a lui seul a ébranlé un édifice que l’on croirait reposer sur du sable. Le spleen gagne des dirigeants qui intéressent la justice. Le patron du groupe Fiat Chrysler a même le moral à zéro.
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