Plus appréciées pour leurs puissants 6-cylindres que leur ligne tronquée, ces deux allemandes profitent aussi d’un bien pratique hayon. De plus, il s’agit de propulsions peu onéreuses, alors pourquoi se priver ?
Stéphane Schlesinger
Lui écrireTout juste restylé, le petit crossover allemand valorise son habitacle et s’équipe d’un moteur qui lui était auparavant interdit, le 1,5 l TSI Evo de 150 ch. Nous testons d’abord cette motorisation, en finition haut de gamme R-Line.
Cette déclaration, émanant d’une personne bien placée chez Peugeot, semble bien résumer l’avenir de Fiat : rhabiller des plateformes PSA, ce qui n’a rien d’une bonne nouvelle.
Formidablement performant et musical, le V8 M156 équipe une dernière fois la Mercedes Classe E en 2009, pour une durée limitée. Il la transforme en une incroyable familiale de course, encore abordable malgré sa grande rareté.
Très joliment dessinée et nantie de moteurs performants, l’Ibiza constitue un moyen bien sympa de rouler eighties, à un prix défiant toute concurrence. Encore faut-il dégotter un bel exemplaire…
Au début des années 80, Peugeot a imaginé se relancer en rallye avec une 305 hypertrophiée, la brave berline étant alors son grand succès. Mais le projet n’a pas abouti…
Dotée d’un monstrueux V8 suralimenté (564 ch !) issu de la Corvette ZR-1, cette Cadillac est une authentique sportive capable de performances balistiques. Poussant le vice jusqu’à se doter d’une boîte manuelle, elle demeure très rare sur le marché européen. Une pièce de choix !
Quand les généralistes s’essaient au prestige, cela donne les Renault Vel Satis V6 3.5 et Volkswagen Phaeton V6 3.2. Bizarrerie novatrice d’un côté, classicisme extrême de l’autre, chacune adopte une stratégie qui lui est propre… Sans succès. Restent deux excellentes autos de luxe à prix dérisoire.
En 1984, Seat se relançait miraculeusement grâce à l’Ibiza, une appellation que la marque espagnole a conservée depuis. Si la citadine demeure un best-seller pour le blason ibérique, on se demande toutefois quel est son avenir.
Ligne sublime, mécanique on ne peut plus noble, luxe omniprésent, performances record, la Jaguar XJ12 (ainsi que sa soeur encore plus chic Daimler Double Six) a tout pour elle. Sauf la fiabilité. Certes, c’est un poil ennuyeux mais ça se résout, aussi les raisons de craquer sont-elles diablement nombreuses…