
Si je ne devais accuser qu’une auto de m’avoir intoxiqué, de m’avoir inoculé le virus de l’amour des autos sportives, ce serait elle : la Lamborghini Diablo. Est-ce l’anecdote d’une SV prenant un carrefour sur la Nationale 7 en drift (!) quand j’avais 7 ans ? Est-ce la folle sonorité de son V12 qui m’a littéralement traversé le corps ? Peut-être est-ce tout simplement sa ligne parfaite ?