C’est un rapport sénatorial qui fait mal et qui pose question alors que, par ailleurs, certains péages augmentent et que, de plus en plus, notre quotidien routier est rythmé par des restrictions de circulation et des limitations de vitesse temporaires. La cause ? La dégradation régulière de nos infrastructures routières. C'est la compétitivité de notre pays et la sécurité des usagers qui est en jeu. Les Nationales et les Départementales se délabrent, mais aussi les autoroutes payantes.
Cette semaine il faudra avoir une pensée particulière pour tous les professionnels impliqués dans services de l’automobile et de la mobilité. Un secteur qui a décidé de se mettre en valeur du 11 au 18 mars pour mieux se faire connaître mais aussi reconnaître. Car l’époque n’est pas tendre pour une catégorie à la probité parfois malmenée et souvent la cible de polémiques quand il n’est pas cloué au pilori par l’écologie punitive. Il faut donc rééquilibrer le débat et montrer que l’on est tout aussi innovant, jeune et dynamique que n’importe qui d’autre.
Le poste budgétaire dédié à l’automobile est en passe de devenir un véritable crève-cœur. C’est du moins ce qui ressort d’une étude menée par l’enseigne financière Fortuneo qui s’est penchée sur l’évolution des prix à la consommation depuis dix ans. À partir de là, elle a sectorisé les dépenses faites par les ménages. Pour une révélation inquiétante : les dépenses liées à la maintenance automobile ont bondi de 42 %.
Cette semaine et plus exactement le 8 mars ont été célébrés les droits de la femme au travers d’une journée internationale. L’occasion de rappeler quelques notions d’équité hélas trop souvent oubliées. Cependant, pour marquer le coup, des initiatives originales ont été prises avec parfois des résultats qui ont fait débat. Ainsi en Australie où l’on a installé plusieurs feux piétons à l’iconographie féminine.
Si vous passez aujourd’hui du côté de la place de la Concorde à Paris, vous remarquerez sans aucun doute la présence d’une bâche géante de 218 m2. Pour des travaux ? Non, pour une bonne cause, celle de sensibiliser sur la mortalité routière dans le monde. Voici une nouvelle campagne avec pour thème la sécurité routière. Appelée « 3 500 lives » soit 3 500 vies et initiée par la Fédération internationale automobile elle mobile treize personnalités d’horizon très différent.
La Fédération nationale de l’Artisanat automobile (FNAA) vient de déposer une plainte devant la Commission européenne contre Hyundai qui vient subitement d'annoncer que la garantie 5 ans allait désormais être uniquement réservée aux véhicules vendus par des concessionnaires agréés.
Il n’a échappé à personne que le tarif du litre du carburant à la pompe est reparti à la hausse. De quoi, a priori, satisfaire les professionnels du secteur qui voient leurs marges grandir et les sous rentrés. Une fausse idée. L'Union française des industries pétrolières (Ufip) a décidé de le rappeler avec force dans un communiqué qui s’inquiète de cette inflation. Enfin, plus exactement, qui dénonce l'augmentation de la fiscalité sur les carburants en France. Ce qui n’est pas exactement pareil.
La gendarmerie voulait le Hummer mais le juge n’était pas de cette humeur. Voilà qu’elle pourrait être l’épilogue de cette histoire relevant de la police de la route et qui a débuté début janvier du côté de Reims. Une année mal engagée pour un automobiliste qui s’était offert un Hummer type H2. Problème : il n’avait plus son permis de conduire.
Dis-moi qui tu es et je t’offre ton contrôle technique. À combien estimez-vous votre confidentialité ? Pour une start-up clermontoise, elle ne vaut pas plus de 70 euros soit le prix d’un contrôle technique. Elle se propose donc de vous l’offrir en échange de renseignements sur votre personne. Et si vous êtes un tantinet prude, la même société vous laisse l’opportunité de l’effeuillage. Plus vous vous mettez à nu et plus vous tendrez vers la gratuité du contrôle. Un strip-tease d’un nouveau genre.
Le débat sur le contrôle technique des véhicules considérés comme anciens c’est un peu un pas en avant et deux pas en arrière. Ainsi, au moment où un décret exempt de l’examen les engins de collection d’avant 1960, voilà que l’on reparle d’une visite annuelle pour les voitures de plus de dix ans au lieu des deux ans actuels. Une idée qui n’est pas nouvelle et qui est même voulue par l’Europe.
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