En cet été 2005, l'étroitesse d'esprit du maire de Paris et le triste aveuglement de ses acolytes verdâtres vis-à-vis des deux-roues motorisés n'ont d'égal que l'esbroufe médiatique du ministre de l'intérieur. L'objectif est commun : calmer le bon peuple face aux "menaces terroristes" (on se demande un peu qui terrorise qui !