
C’est un nouveau scandale qui pointe à l’horizon dans un monde automobile à la réputation déjà bien écornée. Après le logiciel truqueur rendant les moteurs plus vertueux qu’ils ne sont au regard des normes antipollution, après les airbags meurtriers Takata qui succédaient à une affaire de commutateur d’allumage touchant les constructeurs américains, voici l’affaire Kobe Steel. Une histoire qui met à nouveau l’industrie japonaise en porte à faux. Et pas qu’un peu : les entreprises japonaises ont été livrées en produits dont les caractéristiques techniques avaient été falsifiées par le sidérurgiste nippon.