Sans surprise, la dotation de cette Quattroporte se modernise par rapport à l’ancienne génération. Elle se voit ainsi dotée des jantes 20 pouces, de l’ordinateur de bord, de deux teintes de peinture (noir ou blanc), des boiseries en érable, de l’intérieur cuir, des pédales réglables en profondeur, de la climatisation automatique bizone, de l’aide au parking avant et arrière avec caméra de recul, du système multimédia, des sièges avant et arrière chauffants, du système audio 10 HP 600 W, de l’éclairage automatique, de 6 airbags, du système antivol, des projecteurs bixénon adaptatifs, ainsi que des suspensions adaptatives.
Notre modèle d’essai était garni d’options avec par exemple la climatisation quadrizone (2 200 €), l’habitacle intégral en cuir (3 500 €) avec pavillon en alcantara (1 275 €), le système audio Bowers&Wilkins (3 500 €), etc.
Au final, même si Maserati a réussi à combler une partie de son retard, on ne peut que constater qu’il existe encore certaines lacunes comme l’absence d’ouverture/fermeture automatique ou de Soft close au niveau des portières. Mais c’est surtout sur le plan technologique que cette Quattroporte est le plus en retard vis-à-vis de ses principales concurrentes allemandes. Ici, à titre d’exemple, pas de vision nocturne, de caméra périphérique, de régulateur de vitesse adaptatif ou de système de précollision.
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