6. Côté finances : tous les tarifs, la concurrence

Le GLC semble coûter un peu plus cher que ses rivaux, mais la différence s’estompe si l’on tient compte du fait qu’il fournit d’office suspension pilotée et boîte automatique avec palettes au volant (pas de boîte mécanique au programme), tandis que son moteur offre une puissance légèrement supérieure à la concurrence (204 ch, contre 190 pour les A5, X3 et XC60). A quoi s’ajoutent des écarts en termes de bonus/malus : le GLC est le seul de la catégorie à évoluer dans la zone neutre. En effet, le Q5 2.0 TDI affiche 146 g de CO2/km avec une boîte manuelle et 149 g avec boîte automatique, et se voit donc dans les deux cas pénalisé par un malus de 900 €. Compter aussi 149 g (donc 900 €) pour le Volvo XC60 D4 à transmission intégrale et boîte automatique, valeur qui descend à 137 g/km (+250 €) en boîte manuelle. Enfin, côté X3, ces valeurs s’établissent à 145 g /km en boîte manuelle (+500 €) mais tombent à 139 g (+250 €) en boîte automatique.

Pour autant, l’on ne qualifiera pas le GLC de bonne affaire. En version de base, il reçoit des roues de 17 pouces qui s’apparentent à des roulettes dans ses grandes arches de roues, et fait notamment l’impasse sur le GPS, le système d’aide au stationnement et le très pratique hayon à ouverture/fermeture électrique. Du coup, mieux vaut se tourner vers la finition Executive : et hop, 5 000 € de rallonge ! « 52 500 €, signez là. »