Une Toyota Supra vendue plus de 150 000 €
Honda NSX, Nissan Skyline R34 GT-R, Mazda RX-7 Spirit R et Toyota Supra MK4 : toutes ces sportives japonaises sont aujourd'hui bien moins abordables qu'auparavant. Véritables icônes d'une époque, les fans se les arrachent contre des sommes de plus en plus importantes. Une Supra MK4 vient de partir pour plus de 150 000 euros.

Les sportives japonaises des années 90 et 2000 sont-elles les prochaines automobiles sur lesquelles les spéculateurs feront des gros coups ? C'est en tout cas ce que la flambée des prix laisse croire. Un exemplaire d'une Toyota Supra MK4 vient en effet de partir lors d'une vente aux enchères Barret-Jackson contre 176 000 dollars, une somme équivalente à 156 024 euros.
Vous vous en doutez, la Toyota Supra MK4 échangée pour cette petite fortune dispose d'une configuration spéciale. Il s'agit d'une série limitée commercialisée en 1997 par Toyota pour célébrer le 15e anniversaire du modèle. De plus, son toit targa la rend encore plus rare. Seules 376 unités sont sorties des chaînes avec un intérieur noir et une peinture noir métallisé cette année de production.
Détail intéressant, son compteur affiche 112 478 kilomètres. Ce qui confirme que les passionnés même les plus riches sont au courant de la fiabilité et du potentiel de préparation du bloc 2JZ logé sous son capot. Le coupé japonais n'a d'ailleurs pas échappé aux modifications. Un échappement plus libéré et des suspensions retravaillées équipent cette Supra vendue au même prix qu'une McLaren 570S neuve.

Photos (5)
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération