A partir de lundi, tous (ou presque) à vélo! La petite reine présente bien des avantages, mais attention: en cas d'infraction au code de la route, vous vous exposez à de sévères sanctions. Piqûre de rappel.
Permettre aux soignants d’être mobiles en toutes circonstances durant la crise, c’est l’un des engagements solidaires pris depuis un mois par les entreprises du secteur automobile, de même que par la plupart des collectivités régionales. Regard sur quelques-unes des actions menées.
Une étude tout juste publiée souligne que l’usage quotidien de la voiture a reculé de 4,7% depuis 2010. Cela n’empêche hélas pas les bouchons d’augmenter et les transports en commun de saturer, tandis que les élus prennent des positions anti-auto toujours plus radicales. Bref, ça va coincer de plus en plus dans les années à venir. Voici pourquoi.
Ne pas rajouter de l'huile sur le feu. C'est semble-t-il le mot d'ordre adopté par le gouvernement, en marge de la présentation de son projet de loi sur les mobilités (LOM), ce lundi après-midi, alors que la mobilisation des gilets jaunes se poursuit. Aucune mesure concrète n'a été vraiment développée lors de cette conférence de presse à laquelle Caradisiac assistait. Les ministres en charge du dossier se sont surtout évertués à brasser… de grandes généralités.
Après les vélos en libre-service, les trottinettes électriques arrivent en France. La start-up américaine Lime va déployer aujourd’hui dans les rues de Paris plusieurs centaines de modèles pouvant être loués avec un smartphone. Une nouvelle qui tombe à pic, juste après l’annonce de l’arrêt d’Autolib’.
Alors que les statistiques globales de sécurité routière s'améliorent depuis une quinzaine d’années, les collisions sur des passages à niveaux continuent d'afficher un niveau préoccupant.
Le gouvernement lance ce mardi les Assises de la mobilité, dont l’objectif est, selon les termes mêmes d’Emmanuel Macron, « de repenser et de réarticuler les mobilités du XXIème siècle. » Un vaste programme dont l’automobile est bien sûr l’un des éléments-clés.
Les trajets en autocar ont le vent en poupe depuis la libéralisation du marché et ce qu'on surnomme « les bus Macron ». Mais si les villes desservies sont de plus en plus nombreuses, les gares routières ne sont pas toujours au niveau des attentes des voyageurs.
Ce sont les chauffeurs de taxi qui ont été les premiers à monter au créneau lors de l'arrivée de VTC en France en 2010 pour dénoncer une concurrence qu'ils estimaient déloyale, mais selon une étude de l'Ademe, ce ne sont pas les seuls à être impactés puisque le changement des habitudes des usagers concernerait l'ensemble des modes de transport… jusqu'à la marche.
Dans un secteur parisien du transport à la personne déjà en ébullition, voici une nouvelle proposition qui sera une concurrence de plus à des taxis et autres chauffeurs VTC à couteaux tirés. Il s’agit du minibus autonome qui fait certes déjà son œuvre du côté de La Rochelle pour des petits trajets. Mais à Paris, on est plus ambitieux. On s’est même fixé une échéance : 2020. Ce qui est déjà demain.