Ce jeudi, Ségolène Royal remettait à Mme Le Guay, une automobiliste parisienne, la millionième vignette Crit'air. L'occasion pour la ministre de se féliciter du succès de la mesure et en annoncer d'autres. Mais aussi, hélas, de survendre les vertus de la voiture électrique.
C’est un intéressant point de vue qui est développé dans les colonnes du Figaro par un Éric Verhaeghe auteur d’un ouvrage « Ne t'aide pas et l'État t'aidera », paru en janvier de cette année aux éditions du Rocher. Il réagit à l’hystérie qui a saisi ces dernières semaines une classe politique de gauche convertie à l’écologie punitive et habité par un mépris d’une petite classe moyenne française en son temps qualifié de « sans dents » par le Président et bientôt sans voiture. Car c’est cette masse laborieuse qui va se retrouver d’ici huit ans sans moyen de locomotion.
Ce jeudi matin, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal inaugurait le premier tronçon de route solaire, en l’occurrence 1 km de voirie permettant d'alimenter l’éclairage public d’une commune de 5000 habitants. Mais au-delà de l’effet d’annonce, une telle technologie est-elle réellement viable ?
Le blocage des tarifs autoroutiers, décrété par le gouvernement en 2015, est une véritable malédiction pour les usagers. Non seulement, ces derniers auront de toute façon à régler ce qu'ils auraient dû verser aux sociétés concessionnaires cette année-là, via des hausses supplémentaires aux péages entre 2019 et 2023, mais ça leur coûtera même plus cher que ce qu'ils auraient eu à payer si les augmentations s'étaient appliquées normalement. Le surcoût est estimé à un demi-milliard d'euros supplémentaires, selon l'Arafer !
Contraindre les sociétés d'autoroutes à s'asseoir sur leurs hausses tarifaires annuelles, c'est faire courir le risque à l'usager de payer encore plus cher les années suivantes ! Est-ce bien souhaitable ? Polémique, débat, nouvelle loi, Caradisiac clarifie la situation dans sa rubrique "Question de droit". Avec la collaboration de Maître Caroline Tichit, avocate spécialisée dans la défense des conducteurs.
Événement dans le ciel de Brest avec l'inauguration de l'étonnant (et élégant) téléphérique au-dessus de la Penfeld. Trois minutes sont nécessaires pour relier les deux rives et avoir accès au nouveau quartier des Capucins.
Ségolène Royal vient de l'annoncer : les entreprises vont enfin pouvoir déduire 80 % de la TVA sur le sans-plomb, comme c'est le cas pour le diesel depuis de nombreuses années. La mesure n'est pas une surprise. Ce qui l'est, c'est le calendrier : la Ministre de l'écologie a annoncé une mise en place en deux ans seulement. Étonnée par cette rapidité, l'industrie automobile est inquiète.
Pendant ce Mondial 2016, Caradisiac interpelle les décideurs de l'automobile et les hommes politiques qui visitent le salon. Nous leur posons les questions simples et directes que vous vous posez, loin des conférences de presse formelles. À eux d'y répondre. Ou d'esquiver ces questions qui fâchent, à l'image de Ségolène Royal, qui a préféré botter en touche.
Au mondial de l’automobile, la ministre de l’environnement Ségolène Royal affirmait avec force son intention de voir la France dotée d’un million de bornes de rechargement pour les véhicules électriques d’ici à 2020. Un projet ambitieux que l’enseigne Bouygues pourrait bien aider à concrétiser.
Les patrimoines du Premier Ministre et des membres du gouvernement viennent d'être révélés. Dans les 39 déclarations, rares sont les véhicules qui font rêver : la sobriété est de mise même côté garage. Parmi les véhicules qui sortent du lot : un van, un Audi Q5, une Citroën Méhari, ou encore une Clio… de 1994.