Les quotas de véhicules à faibles émissions fixés par la loi LOM, les mesures fiscales et les bonus de l’État à l’achat ou à la location poussent à l’évidence au verdissement accéléré des parcs. En outre, c’est sur la base de leurs engagements sociétaux et environnementaux que de plus en plus de grands groupes font le pari de constituer des flottes 100 % électriques d’ici à 2030. Illustration.
Un nouveau projet de loi, déposé au Sénat, remet le sujet sur la table. Il s'agit bien de permettre aux collectivités territoriales la mise en place de radars automatiques sur leur territoire, et ce serait à leurs propres agents verbalisateurs de traiter les infractions ainsi relevées. Mais de quoi parle-t-on vraiment ? Décryptage…
La mise en place des Zones à Faibles Emissions continue de faire des remous. Alors que le projet de loi Climat et résilience est soumis à l'examen des sénateurs à partir d'aujourd'hui, l'association 40 Millions d'automobilistes monte au créneau.
A partir de demain, 240 000 véhicules Crit’air 4 seront interdits dans le grand Paris, intra A86. Mais surtout d’ici trois ans, douze millions de voitures vont être bannies de 180 grandes villes françaises. On parie que ça va mal se passer ?
Le mois de juin apporte quelques nouveautés pour les conducteurs, pour la plupart dans les régions.
45 % des Français sont opposés à une interdiction des véhicules à moteur diesel en ville.
Ce mardi, l’Assemblée nationale procèdera au vote solennel du projet de loi Climat & Résilience, élaboré à partir des propositions de la Convention citoyenne sur le climat. Cette loi s’intéresse bien sûr énormément aux transports, et tout particulièrement à l’automobile, au sujet de laquelle certaines mesures ont été durcies. Ainsi, la vente de voitures émettant plus de 95 g de CO2/km prendrait fin dès 2030.
La voiture thermique, c’est fini. Injustice de l’histoire, le dernier clou dans son cercueil aura été enfoncé par Carlos Tavares, patron de Stellantis, le seul qui l’ait vraiment défendue, l’ultime résistant au tout-électrique.
Une ONG écologiste s'attaque à nouveau aux modèles hybrides rechargeables, qu'elle qualifie de "fausses voitures électriques". Pourtant, cette technologie ne manque pas d'atouts quand elle est bien utilisée.
La France ne veut pas d'une norme Euro 7 trop stricte qui mettrait en danger son industrie automobile.