Dans quelques jours, un jugement doit être rendu par la Cour administrative de Leipzig sur l'autorisation d'interdire les voitures à moteur diesel dans les centres-villes allemands. Une décision qui risque de précipiter la chute du diesel… et de donner des idées en France.
Ce propriétaire d'une grande demeure dans Düsseldorf a eu l'idée la plus folle que l'on ait vue pour empêcher les automobilistes de se garer trop près de sa sortie de résidence : acheter deux Smart Fortwo qui sont stationnées en permanence autour de sa sortie pour maintenir un espace suffisant. Et c'est tout à fait légal, quoiqu'un peu onéreux...
En France, le prix moyen d'un véhicule neuf tourne entre 25 000 et 26 000 euros. Une situation nettement différente en Allemagne où les clients achètent à un tarif moyen de 30 000 euros. Une différence qui s'explique aussi par le parc automobile national allemand plus orienté haut de gamme.
Depuis la révélation du scandale du dieselgate en 2015, l’histoire semble être comme un éternel recommencement chez Volkswagen. L’existence d’un logiciel truqueur capable de rendre les modèles du groupe plus vertueux au regard des normes antipollution qu’ils ne le sont vraiment est un thème récurrent et, en 2018, on retrouve encore des véhicules contraints d’être rappelés à l’ordre. Selon le média Bild am Sonntag, c’est Audi qui est ainsi pointé du doigt par L'autorité de tutelle du secteur automobile en Allemagne.
Une grosse vague de revendications est actuellement en place de l'autre côté du Rhin, où le puissant syndicat interprofessionnel IG Metal demande le passage à la semaine à 28 heures ainsi qu'une revalorisation salariale de l'ordre de 6%. Des grèves qui concernent notamment Audi et BMW.
Si, chez Volkswagen, on a sorti les tireuses à bière pour célébrer la future annonce d’une première place mondiale chez les constructeurs automobiles, chez les compatriotes BMW, on sable le champagne. Normal lorsque l’on se présente comme le plus grand fabricant au monde d'automobiles premium avec les marques BMW, Mini et Rolls-Royce. On change de statut mais la dynamique du succès est la même. Et elle s’apprécie d’autant plus que l’on bat le grand rival Daimler.
Le groupe Volkswagen doit publier ses chiffres de vente pour 2017 le 17 janvier et ses résultats à la fin du mois de février. Mais d’ores et déjà, les éléments fusent sur ce bilan tant attendu et c’est le journal Bild am Sonntag qui vend dès aujourd’hui la mèche, citant des sources internes. Et les nouvelles sont bonnes pour la famille qui regroupe aussi Audi, Porsche, Seat ou encore Skoda.
Il paraît selon certaines données que le véhicule de collection soit en perte de vitesse de l’autre côté de l’Atlantique. Peut-être, mais certaines reliques de l’histoire gardent invariablement leur quotte et c’est ce qui devrai ressortir de cette prise de guerre du second conflit mondial. Une Mercedes-Benz 770K Grosser aussi connue sous le nom de « Super Mercedes », produite à quatre exemplaires seulement pour un dictateur hélas bien connu.
Le navire Volkswagen serait-il insubmersible. On va finir par le croire. À tout le moins, la certitude est qu’il résiste bien aux intempéries. La preuve ? Nous parlons là d’un groupe automobile aux douze marques, dont une de moto, qui, depuis 2015, a dépensé plus de 25 milliards d'euros depuis 2015 pour répondre de l'affaire du trucage des tests d'émissions de ses moteurs diesels. Une paille ! Mais Volkswagen a tout juste tangué. Et alors qu’il ne doit publier ses résultats annuels détaillés que le 13 mars, il clame déjà à qui veut l’entendre que ses résultats seront excellents en 2017…
Le courant passe apparemment pour la version électrique d’une Golf qui reste le modèle référence chez Volkswagen. Un curseur pour le groupe qui voit la, déclinaison à batteries de son modèle électriser certains marchés. Voilà de quoi commencer à oublier les émanations d’un diesel à présent voué aux gémonies après avoir été porté aux nues. Ainsi, le constructeur allemand annonce fièrement qu’il va doubler la production de sa e-Golf à compter de mars 2018.