
C’est un mauvais signe pour une catégorie qui se cherche malgré tout depuis que son promoteur est le même que celui du MotoGP. Le Superbike a beaucoup aidé Aprilia à se forger une image et la firme de Noale y a récolté des titres mondiaux avec une RSV4 aux capacités certaines. Max Biaggi et Sylvain Guintoli ont connu le bonheur du sacre avec. Mais en 2019, tout ça sera de l’histoire ancienne…