
C'est à croire que le marché de la moto se plait à faire un pied de nez aux politiciens actuellement affairés à leur réélection. Les mêmes qui ne l'ont jamais considéré alors qu'il subit de plein fouet la crise. Au contraire des caisseux, pas la moindre aide ou dispositifs de leur part qui auraient été un sursis salutaire.