Par Gastor
Ne pas imposer le casque est être vendu aux intérêts des trots électriques en autopartage : le risque de blessures à la tête sont beaucoup, beaucoup plus élevé qu'en vélo, cette décision est scandaleuse.
L'État dévoile son plan pour encadrer les trottinettes électriques
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Par Gastor
Ne pas imposer le casque est être vendu aux intérêts des trots électriques en autopartage : le risque de blessures à la tête sont beaucoup, beaucoup plus élevé qu'en vélo, cette décision est scandaleuse.
Par jroule75
"Parmi ces différentes mesures, et sans doute les plus impactantes, l’âge minimum requis pour utiliser une trottinette électrique a été relevé à 14 ans, contre 12 auparavant, et les amendes contre les comportements dangereux (circulation à deux ou sur des voies interdites, débridage de l’engin, etc.) passent quant à elle de 35 € à 135 €. De quoi devenir nettement plus dissuasif."
Bla bla bla ... Les trottinettes roulent en toute impunité. En plus, il faudra que ce soit les flics qui les attrapent en pleine infraction, mais il n'y a plus de flics dans les rues. Les grosses municipalités ont misé sur la vidéo-verbalisation... Sauf que sans plaque d'immatriculation, pas d'infraction.
Bref, encore des mesures de tocards fait par un blaireau qui ne doit sa présence au gouvernement que par son intimité partagée avec le Roi de France.
Par jroule75
En réponse à Gastor
Ne pas imposer le casque est être vendu aux intérêts des trots électriques en autopartage : le risque de blessures à la tête sont beaucoup, beaucoup plus élevé qu'en vélo, cette décision est scandaleuse.
Encore un autre exemple débile : la location des scooters partagés (Cityscoot & cie). La réglementation stipule que le casque ET les gants sont obligatoires et doivent respecter une certaine certification. Pourtant, les locations ne sont munis que de casque ! Pas de gants mis à dispo. Rien que ça, cela devrait interdire la mise en location de ces scooters. Pourtant, aucune verbalisation, aucune réprimande, aucune sanction.
Et une autre aberration, cette fois liée à la facturation des véhicules en location partagées (trottinettes, vélo...). Souvent, celle-ci est basée sur le temps passé à l'utiliser, conséquence : aller le plus vite possible du point A au point B, au mépris du code de la route, des piétons et toute autre règle de bon sens. Plus tu vas vite, moins tu payes.
Pour le coup, Vélib a au moins le mérite d'avoir un coût fixe pour la location avec un abonnement gratuit. Les tranches étant assez longues pour ne pas rouler comme un dératé (30 ou 45 min)
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