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Commentaires - Exagon Furtive e-GT : la GT française très furtive

Michel Holtz

Exagon Furtive e-GT : la GT française très furtive

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' Pas mal pour l'époque et l’accueil et plutôt enthousiaste au salon, plus en tout cas que dans les bureaux de vente.'

C'est tjrs le même schéma. Les VE boys sont euphoriques dès qu'il y a une nouveauté mais ça reste avant tout des déplacoires boys. Donc toute voiture orientée 'plaisir' n'a aucune chance avec eux : ils diront qu'elle est génial, ils diront (mais que reste t'il au thermique ?), etc... mais a la fin, ils ne seront jamais jamais jamais client, car ils ont vu, ils voient et ils verront tjrs l'automobile comme un utilitaire (du reste c'est pour cette raison qu'ils apprécient autant la voiture électrique : en voila une création sans âme et sans une once de passion, un produit qui répond donc à leur cahier des charges). Sauf que quitte a choisir l'utilitaire parfait : un coupé sportif électrique, c'est totalement antinomique, au moins autant qu'une fondue savoyarde sans matière grasse. :bah:

Donc ça sera tjrs la même histoire : pas de client pour le VE orientée plaisir. Parce que voiture électrique et 'plaisir' ou 'passion' ça ne va pas ensemble. Tout comme on peut être expert en lave linge, si intéresser matin midi et soir, connaître le marché sur le bout des doigts, reconnaitre une utilité évidente de l'objet, mais la passion n'est jamais là, car il n'y a rien de passionnant dans un lave linge comme il n'y aura jamais rien de passionnant dans une VE, ni en lachant des proute, ni en singeant une VT en jouant la contrefaçon made in Vintimille. :bah:

Pour valider ma thèse c'est assez simple. Il suffit de demander : qui ici est client (et donc possède) une voiture électrique orientée 'plaisir de conduite' ? Exit donc les utilitaires et autres déplacoires familiaux (bétaillère) ? :bah:

Par

Sérieux, qui va acheter un bidule à 400 000 euros, construit par des bricoleurs du dimanche ?

N'est pas Elon Musk qui veut !

L'industrie automobile c'est un métier. Et c'est pas pour les gentils amateurs.

Entre développer une voiture de course et passer à la production pour vendre, il y a un monde...

Par

En réponse à franpir21

Sérieux, qui va acheter un bidule à 400 000 euros, construit par des bricoleurs du dimanche ?

N'est pas Elon Musk qui veut !

L'industrie automobile c'est un métier. Et c'est pas pour les gentils amateurs.

Entre développer une voiture de course et passer à la production pour vendre, il y a un monde...

   

"L'industrie automobile c'est un métier":

Il y a des gros groupes qui semblent l'oublier (coucou stellantis) depuis pas mal d'années. Avant de vouloir faire du pognon, assurez-vous que vos autos soient correctes

Par

Il existe plusieurs étapes à franchir avant de devenir un (vrai) constructeur auto et de s'assurer une place de manière pérenne sur le marché (et une rentabilité).

Chaque étape suivante nécessitant toujours plus d'argent jusqu'à une hypothétique stabilité financière puis rentabilité afin d'avoir un retour sur investissement.

Création de la boite, proto numérique, proto physique, premier modèle (en général, très cher), industrialisation progressive, deuxième modèle (en général, plus accessible), création d'un réseau / logistique, ...

Exagon a passé quelques étapes avant de se prendre le mur de la commercialisation d'un premier modèle.

C'est pas le premier ... ni le dernier.

Tesla a frôlé la faillite avant de devenir l'entreprise qu'on connait aujourd'hui. Pour Exagon, il n'y a pas eu d'happy end.

Faut dire que la société commencait avec un sacré handicap ... son lieu de naissance (national ou européen). Pour ce genre de projet, il faut énormément d'argent donc un environnement "business friendly" pour des levées de capitaux. Le genre de truc qu'on retrouve plus facilement outre manche (par exemple) que sur le vieux continent et encore plus chez nous ... même encore aujourd'hui, qu'importe le délire fantasmé de Macron avec sa "startup nation" et sa "french tech" (et je parle même pas sur la période pré 2017 où Exagon Motors existait).

Par

Quand on a les moyens de s'acheter une supercar, on en choisis une qui transmets de l'émotion, donc tout sauf du VE.

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Par

Je l'ai vu tourner sur les pistes de Ladoux. Les pilotes essayeurs la trouvaient pas mal à conduire seulement ils pouvaient tourner qu'1/4 d'heure et puis c'était la recharge. Après cela peut être suffisant pour détruire les pneus suivant la conduite

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Je l'avais presque oublié cette Furtive. Je me rappelle à l'époque suivre avec grand intérêt cette voiture. Dommage qu'elle n'est pas durée.

Aujourd'hui il y a une sorte de lassitude de la VE. A l'époque, dix ans en arrière c'était innovant, intriguant. Il y avait une certaine ferveur autour des VE sportives. Et cette voiture en faisait partie.

Par

En réponse à franpir21

Sérieux, qui va acheter un bidule à 400 000 euros, construit par des bricoleurs du dimanche ?

N'est pas Elon Musk qui veut !

L'industrie automobile c'est un métier. Et c'est pas pour les gentils amateurs.

Entre développer une voiture de course et passer à la production pour vendre, il y a un monde...

   

La première tesla est un bricolage, un châssis de Lotus élise avec des batteries d'ordinateur et un poids qui n'est pas plume.

Le "génie" de Musk et ses associés, c'est la S avec un bon ciblage commercial et surtout le réseau avec les infrastructures de recharges qui limitent le stress de la panne. Pour le reste, il a très bien ciblé, non pas le produit qui avait sauver la planète mais le produit bien positionné /thermique équivalent et le prix de vente assurant un minimum de rentabilité.

Par

En réponse à Axel015

' Pas mal pour l'époque et l’accueil et plutôt enthousiaste au salon, plus en tout cas que dans les bureaux de vente.'

C'est tjrs le même schéma. Les VE boys sont euphoriques dès qu'il y a une nouveauté mais ça reste avant tout des déplacoires boys. Donc toute voiture orientée 'plaisir' n'a aucune chance avec eux : ils diront qu'elle est génial, ils diront (mais que reste t'il au thermique ?), etc... mais a la fin, ils ne seront jamais jamais jamais client, car ils ont vu, ils voient et ils verront tjrs l'automobile comme un utilitaire (du reste c'est pour cette raison qu'ils apprécient autant la voiture électrique : en voila une création sans âme et sans une once de passion, un produit qui répond donc à leur cahier des charges). Sauf que quitte a choisir l'utilitaire parfait : un coupé sportif électrique, c'est totalement antinomique, au moins autant qu'une fondue savoyarde sans matière grasse. :bah:

Donc ça sera tjrs la même histoire : pas de client pour le VE orientée plaisir. Parce que voiture électrique et 'plaisir' ou 'passion' ça ne va pas ensemble. Tout comme on peut être expert en lave linge, si intéresser matin midi et soir, connaître le marché sur le bout des doigts, reconnaitre une utilité évidente de l'objet, mais la passion n'est jamais là, car il n'y a rien de passionnant dans un lave linge comme il n'y aura jamais rien de passionnant dans une VE, ni en lachant des proute, ni en singeant une VT en jouant la contrefaçon made in Vintimille. :bah:

Pour valider ma thèse c'est assez simple. Il suffit de demander : qui ici est client (et donc possède) une voiture électrique orientée 'plaisir de conduite' ? Exit donc les utilitaires et autres déplacoires familiaux (bétaillère) ? :bah:

   

Bref, je résume, pas de VE pour les voitures de sport...selon toi.

As tu déjà roulé sur circuit en VE ? où concouru en thermique contre des VE ?

Après tout, il y a bien eu des diesel sur circuits.

Ta très longue tirade apparaît presque comme une déclaration de guerre anti VE.

Par

Voiture électrique, un déplaçait ? Mais n'est-ce déjà pas le cas avec les voitures thermiques ? Boîte automatiques, insonorisées le plus possible , super confortable. On se la joue avec des stickers GTline, AMG ou a Esprit Alpine mais ce sont bien des déplacions. El la réglementation française l'entends bien comme ça. Dans quelques années on conduira le weekend comme certains font du vélo ou du cheval en loisir.

 

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