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Commentaires - DESIGNERbyBELLU - Paul Bouvot, vingt ans déjà

Serge Bellu

DESIGNERbyBELLU - Paul Bouvot, vingt ans déjà

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Un bien beau récit ... peut être aurait il fallu insister un peu plus sur le rôle majeur de ce designer chez Peugeot : la 204, première traction de la marque a été dessinée par ses soins : régulièrement dans le top 3 des ventes, elle a permis d'ouvrir à la marque le marché de la voiture moyenne, devenu majeur dans les années 70'.

La 304 lui a succédé, là encore, sous sa houlette. Deux bonnes autos fonctionnelles et rentables qui ont permis à la marque sochalienne de consolider ses positions.

Par

La fameuse 304 je l'avais complètement oublié.

Par

Après un petit passage à vide,Mr Bellu retrouve sa forme.De l'info,de l'Histoire,bien écrit:tout y est.

Par

En réponse à roc et gravillon

Un bien beau récit ... peut être aurait il fallu insister un peu plus sur le rôle majeur de ce designer chez Peugeot : la 204, première traction de la marque a été dessinée par ses soins : régulièrement dans le top 3 des ventes, elle a permis d'ouvrir à la marque le marché de la voiture moyenne, devenu majeur dans les années 70'.

La 304 lui a succédé, là encore, sous sa houlette. Deux bonnes autos fonctionnelles et rentables qui ont permis à la marque sochalienne de consolider ses positions.

   

Un de mes amis avait une 204 cabriolet rouge. Sympathique auto ! :biggrin:

Par

J'ai usé mes fonds de culotte sur la banquette arrière de deux 204.

Je fus un peu déçu en relisant un essai de la 204 dans un "Auto-Journal" de 1974 ( presque les dernières versions après 9 ans de carrière). Sans véritable défaut, elle n'était créditée d'aucune qualité marquante. Les Simca 1100, GS et autres AlfaSud avaient dû passer par là...

Pour l'anecdote, Paul Bouvot avait respecté à la lettre le dessin de Pininfarina, et les premiers prototypes ne dépassaient pas les 125 km/h, contre 140 attendus.

Il a donc remodelé la face avant pour en améliorer l'aérodynamisme et enfin permettre à la voiture d'atteindre la vitesse maximale prévue au cahier des charges. (source : Les sorciers du lion, Ed Calman Levy 1990).

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Par

Merci pour l'anecdote ( si Cara pouvait reparler d'aéro un peu plus souvent au passage... ).

Pas bien étonnant qu'une caisse de 9 ans soit dépassée par des rivales plus récentes.

La 204 n'a jamais été transcendante...

Juste un passage réussi pour Peugeot à la traction, avec moteur tout alliage au passage, la proposition d'un diesel aussi, pas banal sur le segment ( 40 ch dans sa première version ! ), des dérivés coupé et cabrio qui ont tout de même changé grandement l'image Peugeot de l'époque ( comprendre gaulliste, cul-béni, faire comme papa m'a dit ). Un break bien conçu aussi.

Et à la clé auto la plus vendue en 69', 70' et 71'.

Le tout avec un style dû au monsieur évoqué dans cet article qui, sans être transcendant, a eu le mérite de ne choquer personne... on ne lui en demandait pas plus.

Par

Dans ce récit, je lis une première partie assez dramatique. Et la seconde commence avec une Ferrari 212 "raccourcie" - qui devait coûter une fortune à l'époque. Ce Mr Bouvot est donc soudainement devenu richissime ? S'il a acheté les Ferrari 250 de Vadim et de Delon avec son salaire de chez Peugeot, c'était drôlement bien payé !

Par §Jol656Do

En réponse à roc et gravillon

Merci pour l'anecdote ( si Cara pouvait reparler d'aéro un peu plus souvent au passage... ).

Pas bien étonnant qu'une caisse de 9 ans soit dépassée par des rivales plus récentes.

La 204 n'a jamais été transcendante...

Juste un passage réussi pour Peugeot à la traction, avec moteur tout alliage au passage, la proposition d'un diesel aussi, pas banal sur le segment ( 40 ch dans sa première version ! ), des dérivés coupé et cabrio qui ont tout de même changé grandement l'image Peugeot de l'époque ( comprendre gaulliste, cul-béni, faire comme papa m'a dit ). Un break bien conçu aussi.

Et à la clé auto la plus vendue en 69', 70' et 71'.

Le tout avec un style dû au monsieur évoqué dans cet article qui, sans être transcendant, a eu le mérite de ne choquer personne... on ne lui en demandait pas plus.

   

Globalement d'accord avec ton commentaire ... sauf pour "la 204 n'a jamais été transcendente".

En 1965, année de sa sortie, qui sont ses concurrentes ? Rien chez Citroën, chez Renault les R8-R10 à l'habitacle étriqué et à la tenue de route fantasque, chez Simca la 1000 avec les mêmes défauts, en pire. En Allemagne, l'archaïque Coccinelle (la pire voiture que j'aie jamais conduite ...), les Opel Kadett et leur pont rigide, les poussives Ford Taunus 12M. En Italie, l'antique Fiat 1100 et la Fiat 1300, certes jolie mais techniquement dépassée. A cette époque, la seule concurrente à la hauteur venait d'outre-Manche, c'était l'Austin/Morris 1100, sortie 2 ans auparavant : traction avant, moteur transversal, 4 roues indépendantes, grand empattement, tout cela au bénéfice des qualités routières, de l'habitabilité et du confort.

Reprenant la même (bonne) recette, la 204 y ajoutait un moteur en alliage léger à arbre à cames en tête, avec une ligne sage mais moderne. Il faudra plusieurs années au gros de la concurrence pour rattraper le retard en passant à la traction AV et aux 4 roues indépendantes ! En 1970, ce sera Citroën qui assommera techniquement la concurrence avec l'extraordinaire GS.

En 1974 la 204 fut ma première voiture, elle n'était pas exempte de défauts (accessibilité mécanique moyenne, ventilateur débrayable à surveiller, courroie accessoires fragile, vidange tous les 5000 car huile commune avec la boîte) mais j'en garde un excellent souvenir :-) !

 

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