Les voitures électriques chinoises ne déferlent pas encore en Europe. Pas encore mais pourrons-nous y échapper, protéger notre industrie, nos emplois ? Faut-il garder le cap 100 % électrique ?
Joe Biden devrait annoncer une taxe de 100 % sur les voitures chinoises importées aux États-Unis. En Europe, on envisage une augmentation des mêmes taxes à hauteur de 20 ou 30 % seulement. Pourquoi cette différence de traitement de l'offensive asiatique entre le nouveau et l'ancien continent ?
Les femmes sont moins bonnes au permis de conduire, mais meilleures sur la route : l’insécurité routière, elles n’y sont pas pour grand-chose. Plus prudentes, dit-on. Mais, au fond, pourquoi le sont-elles ? Et qu’est la voiture pour elles ?
Dans un discours prononcé la semaine passée, Elon Musk a comparé les voitures de demain à des ascenseurs qui, grâce à un simple bouton permettent d'accéder à l'étage souhaité. Et si, pour une fois, le patron de Tesla avait raison ? Explications.
Comment expliquer l’augmentation brutale de la mortalité routière au mois de mars autrement que par le point cadeau accordé pour les petits excès de vitesse. Sinon, quoi ? La météo ?
Ils redoutent les sanctions européennes envers la Chine car ils ont peur des représailles. Dans le même temps, ils accueillent les marques de l'empire du milieu dans leur capital, voire dans leurs usines, tout en redoutent la main mise de ces marques sur notre marché. Les constructeurs sont pris entre deux feux, tous aussi dangereux.
Quand Elon Musk tousse, Tesla s’enrhume. Et sa fièvre contamine l’industrie automobile qui se prend à douter de la voiture électrique. Où en est le génie d’Austin ? Mais surtout, a-t-on besoin d’un messie de la watture ?
Comparer la voiture électrique à l’Internet ? Voilà qui n'est pas forcément incongru. À la fin des années 90, le web attirait tous les investisseurs et le Nasdaq était euphorique comme jamais. Mais en mars 2000, tout explose, les valorisations se dégonflent et les investisseurs s’en vont jouer ailleurs. Sauf que deux décennies plus tard, qui a gagné au bonneteau boursier ? La tech et le web. La voiture électrique emprunte peut-être le même chemin, et gagnera à la fin.
Mainmise chinoise sur la filière des batteries et de ses matériaux, vulnérabilité des constructeurs occidentaux, baisse ou disparition des bonus, de nombreux faits et signaux indiquent qu’on ne vendra pas que des voitures électriques dans 11 ans en Europe.
Si les résultats 2023 sont bons pour Volkswagen, le groupe augure d'un coup de moins bien l'an prochain. La faute à qui ? Pas vraiment aux constructeurs chinois ou aux erreurs de stratégie, selon les dirigeants, mais aux conflits en Russie comme au Moyen-Orient, et aux médias qui auraient malmené le constructeur, Étonnantes explications.