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C'est ce qui s'appelle un patron dans la course. Son nom est Akio Toyoda et à une lettre près, on aura compris qu'il s'agit là ni plus ni moins de celui qui est au sommet du premier constructeur automobile mondial. Celui qui tient donc les commandes de Toyota fera le déplacement vers le Nürburgring pour affronter les redoutables 24h00, aussi pittoresques que légendaires. Mais l'homme ne saute pas dans l'inconnu pour autant...

Le « Superstars Series » est un championnat italien mettant aux prises de grosses berlines et coupés dotés de moteur V8 proches de la série sur des circuits européens de Monza à Brno en passant par Donington et Portimao, mais

Camion, pick-up, voiture électrique, vintage, buggy, monoplace typée rallye (comme les Dallenbach qui ne ressemblent à rien d'autre), quad, moto, side-car, mobylette, supermotard et bien d'autre encore. Cette course n'est décidément pas comme les autres et se permet encore plus de liberté de catégories que nos courses Européennes pourtant déjà bien hétérogènes.

Après le départ d'Audi et Peugeot fin des années 80, la catégorie unlimited ne connaitra que deux noms dans les années 90. A ma droite le Japonais Nobuhiro Tajima, à ma gauche le Néo Zélandais Rod Millen. Tous deux ont plus de quarante ans sur la grille de départ et ils subtiliseront tous les trophées de la décennie quand la catégorie unlimited concourrait (8 courses sur les 10 années) soit 3 premières places pour Tajima et 5 pour Millen.

Une nouvelle mode des « Art Cars » est née depuis la présentation en 2010 d’une BMW M3 GT2 officielle qui courut les 24 Heures du Mans. L’auto avait été décorée par Jeff Koons. Cette année encore, à l’occasion du 90e anniversaire de la course mancelle, une « art car » sera au départ. Il s’agira d’une Morgan LMP2 alignée par l’écurie OAK Racing.

Ah les années 80. Le rallye, les Groupe B, Audi, Peugeot, les coupes de cheveux improbables et les pilotes toujours aussi inconscients. Assis dos à un jerrycan d'essence, des chevaux débridés pour l'occasion, la volonté d'en découdre à haute vitesse et les chronos qui vont tomber. Très ancrée dans la tradition des courses US automobiles, Pikes Peak va prendre un virage façon teuton avec l'armada Audi qui arrive avec la talentueuse Audi Quattro, ses quatre roues motrices, son énorme turbo et son expérience en rallye.

La fameuse course de côte de Pikes Peak, plus précisément la Pikes Peak International Hill Climb est une course bientôt centenaire. C'est la seconde plus vieille course américaine qui ne s'incline que de cinq ans face aux 500 miles d'Indianapolis. Une véritable Institution reconnue dans le monde entier et le théâtre de course endiablées pour prouver, seul face au chrono, que le pilote et sa monture sont en osmose dans cette course vers les étoiles. Sans vouloir être exhaustif, faisons le tour de l'épreuve, de ce qu'elle nous évoque, en quatre petites piqûres de rappels. Quatre articles pour se souvenir de tout ce qu'est cette épreuve célèbre de par le monde. C'est parti !

Michael Schumacher qui a dû mettre une deuxième fois un terme à sa carrière en F1 a tout de même signé un contrat d'ambassadeur de la marque Mercedes pour laquelle il a effectué ses dernières saisons. Le 19 mai prochain, le septuple champion du monde effectuera un tour complet de la boucle nord du Nürburgring au volant d'une F1 W02 de 2011. Un événement rare.

Elle est toujours noire mais nous connaissons maintenant ses principales caractéristiques techniques. Il s’agit bien entendu de la Peugeot 208 T16 Pikes Peak que pilotera Sébastien Loeb pour l’édition 2013 de la plus célèbre course de côte du monde.

Même si Valentino Rossi est considéré comme l'un des meilleurs (le meilleur ?) pilotes de tous les temps en moto, l'homme s'est déjà essayé à d'autres sports automobiles, notamment au rallye. Lors du dernier grand prix de MotoGP aux Etats-Unis, Rossi s'est cette fois mis au volant d'une auto de Nascar.