Après d'âpres négociations entre le FFMC, la préfecture de police et la mairie de Paris, les représentants des motards en colère avaient obtenu la création d'une charte « du bon usage des 2 roues motorisés ». Cette charte rendait la remontée de file un peu plus officielle afin de fluidifier le trafic parisien.
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Vincennes . . . samedi 23 septembre . . . 800 casqués en moto ou en scooter . . . à l'appel de la FFMC Paris Petite-Couronne. La revendication étant simple : "on veut des places pour se garer pas pour se faire racketter".
Que ce soit sous la selle ou dans la sacoche de réservoir, vous trouverez toujours la place pour y mettre une petite trousse de secours qui vous servira en cas de petits bobos ou de plus grand besoin. Etant donné la place réduite dont on dispose sur une moto, la liste qui va suivre est minimisée au maximum.
Cela fait aujourd'hui presque 20 ans que l'autoroute gratuite était accordée aux motards se rendant au Bol d'Or, mais aussi aux 24h du Mans ou encore au GP de France. Cela permettait de se rendre à cette compétition mythique dans les meilleures conditions possibles et d'éviter les accidents sur les nationales déjà trop encombrées.
Le premier niveau de secourisme, c'est à dire l'apprentissage des gestes et savoir les réaliser seul, peut se faire de 2 manières différentes. L'AFPS : l'Attestation de Formation aux Premiers Secours Plusieurs organismes proposent cette formation d'une dizaine d'heure minimum.
Les séquelles les plus fréquentes lors d'un accident sont les saignements. Mais il est aussi très fréquent de souffrir dune fracture ou de toutes autres douleurs qui empêchent de bouger. Dans ce cas présent, une seule idée en tête : faire en sorte que le blessé soit dans une position confortable qui lui permet de ne pas trop sentir la douleur.
Cette 5e partie va permettre de réaliser des gestes simples qui ne nécessitent pas d'apprentissage particulier. Ce sont des gestes que l'on réalise par instinct sur soi lorsque l'on se blesse et qui peuvent s'adapter sur une victime. Cela va permettre aussi d'enlever quelques idées reçues qui peuvent nuire à l'état de la victime.
Une fois que l'on a l'interlocuteur voulu au bout du fil (pompiers ou SAMU), il va falloir être précis. En effet, une bonne alerte est le point de départ d'une bonne intervention. Trop nombreux sont les appels se soldant par une adresse erronée ou tronquée qui ne permettra pas au secours d'arriver rapidement.
Une fois l'examen terminé, et malgré vos éventuelles connaissances en secourisme, il faut prévenir les secours. Pour cela, il faut choisir le bon numéro de façon à prévenir les personnes adaptées. Vous avez donc le choix entre les pompiers (le 18) ou le SAMU (le 15) ou bien le 112 qui est un numéro d'urgence européen.
Une fois que tous les présents sur les lieux de l'accident sont en sécurité, il est important de prévenir les secours. Il en sera question dans la 3e partie de cette série d'article. Nous verrons notamment qu'il est important de donner un bilan de l'état de la victime de façon à adapter au mieux les moyens à engager.