La quatrième saison de drive to survive, la série documentaire de Netflix sur la F1 n'est disponible que depuis une semaine mais les critiques se déchaînent déjà contre la plateforme. Le documentaire manquerait de réalisme, monterait en épingle certaines rivalités qui n'ont pas lieu d'être et zapperait des acteurs importants de la discipline reine.
Ce documentaire France Télévisions suit le parcours d’apprentis mécaniciens poids lourds, avec pour les meilleurs la perspective d’intégrer une équipe participant aux 24 heures du Mans Camions. Pour des jeunes au parcours parfois chaotique, cette aventure est aussi une leçon d’optimisme.
Depuis Cars, les dessins animés pour enfants mettant en scène des voitures à figure humaine sont nombreux. Mais celle-ci, d'origine sud-coréenne et destinée aux 3 - 5 ans, met l'accent sur la sécurité routière et la cohabitation entre les humains et les autos.
Toujours plus de visibilité, voici le besoin principal des sports mécaniques. Après la F1 et prochainement le Moto GP, ce sera bientôt au tour du championnat du monde d'endurance d'avoir sa propre série. Objectif : séduire un public toujours plus large.
La nouvelle série de 5x20 minutes, diffusée sur Canal Plus depuis le 1er novembre, se dévore d'un trait. Et l'on est aussi fortement accro à cet OVNI que son héroïne est addict aux amphétamines. Ce VTC est conduit de main de maître par deux réalisateurs français, et l'époustouflante comédienne Golshifteh Farahani.
Prenez comme ingrédients une grosse louche de Hyperdrive, le programme de Netflix, ajoutez-y une cuillerée du film Baby Driver, un soupçon du jeu vidéo GTA, une pincée de Mad Max et laissez infuser dans un mélange des neuf films (pour l'instant) de la saga Fast & Furious et vous obtenez Escape Race, la nouvelle émission automobile de la chaîne Discovery dont les huit épisodes vont être diffusés un par un chaque semaine à partir du samedi 6 novembre à 20 h 45.
Pour la première fois depuis plus de 20 ans la plus prestigieuse des compétitions de football en Europe n’aura pas de constructeur automobile comme sponsor. Dans le rouge, Nissan n’a pas renouvelé pour cette saison sont partenariat. Quelle marque pourrait bien lui succéder ?
Depuis le 15 septembre dernier, sur Netflix, un documentaire de près de deux heures expose la vie du plus grand champion que la F1 moderne a connu, de ses débuts, tout gamin, à son accident de ski en 2013. Mais en se voulant trop hagiographique, le film fait l'impasse sur le côté sombre du septuple champion du monde, même si cette face plus cachée fait partie intégrante du personnage, et de sa légende.
Danny-Dino et Brett-Aston fêtent ces temps-ci leurs cinquante printemps. C'est en effet en septembre 1971 que la série Amicalement vôtre a déboulé à la télé anglaise pour une seule et unique saison. Apparue un an plus tard en France, elle est immédiatement propulsée au rang de mythe, pour son générique à nul autre pareil et pour les autos de ses héros assorties aux personnages comme peu de fictions y sont parvenues.
"Deutsche qualität", "auto emocion" "Cuore sportivo", "go further" et autres slogans de constructeurs allemands, espagnols, américains ou italiens sont aujourd'hui en version originale, même en France. Un courant de fond pour que chacun souligne son origine, au détriment de la langue hexagonale.
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