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Voilà une conséquence du développement annoncé de la voiture autonome auquel peu de monde avait pensé. Une étude des étudiants de l'Université du Michigan a mis en lumière les risques d'augmentation importante des cas de cinétose à bord des futures automobiles capables de se déplacer sans intervention humaine. Pas de panique, la cinétose n'est pas dramatique puisqu'il s'agit en fait du nom technique du mal des transports !

Qu'on se le dise, l'affichage tête haute, c'est bientôt dépassé. Demain, c'est l'affichage au bout du nez qui va arriver et ce ne sera qu'une partie du progrès que le groupe BMW vient d'annoncer. A Shanghai, dans un Salon automobile où il faut

Les constructeurs japonais ont fait le choix de l'hydrogène pour leur futur automobile. La pile à combustible (fonctionnant à l'hydrogène donc) était en concurrence avec la technologie des packs de batteries rechargeables qui nécessite évidemment une forte production électrique que l'on ne voit pas toujours d'un très bon œil au Japon après les catastrophes que l'on sait. Mais si cette technologie encore coûteuse bute sur l'équation économique qui pourrait la rendre attractive pour le plus grand nombre, une nouvelle technologie de fabrication d'hydrogène récemment mise à jour pourrait changer la donne.

L'équipementier anglais Delphi a tiré le premier sur le terrain de manœuvre de la voiture connectée. Un espace qui sera le champ de bataille de demain. L'avantage des équipementiers, c'est qu'ils démontrent que l'on peut prendre une voiture déjà produite en grande série pour la transformer en véhicule autonome. Et l'enseigne ne s'est pas contentée de la théorie. Elle est passée à la pratique en faisant traverser les Etats-Unis à une Audi Q5. A quelques dizaines de kilomètres près et après 9 jours de voyage, le pari est en phase d'être réussi.

Toyota a dévoilé une toute nouvelle architecture globale qui doit selon les termes mêmes du constructeur « améliorer grandement la performance et l'attrait du produit, en même temps que les coûts de développement  ». L'objectif est aussi de réduire la complexité de la gamme mondiale du numéro un mondial.

Depuis Genève, la Peugeot 208 est entrée dans sa deuxième partie de carrière, le point de basculement étant le restyling dévoilé lors du salon helvète. Avec cette nouvelle phase 2, Peugeot inaugure également deux nouvelles teintes texturées qui seraient selon eux des premières mondiales. Le Orange Power du modèle exposé à Genève n'en faisait pas partie, tous les détails sur ces nouvelles couleurs à la suite.

Elon Musk, ce n’est pas n’importe qui, c’est le patron de Tesla Motors, la marque qui monte, qui monte, et qui représente en quelque sorte la pointe de ce qui se fait en matière de véhicules électriques. Les nouvelles technos, c’est donc son domaine. Et pour lui, les voitures volantes ne sont pas forcément une bonne idée.

Après que Apple ait défrayé la chronique avec simplement l'idée d'une iCar encore à concevoir, voici que Google reprend l'initiative sur le thème de la voiture autonome. L'enseigne spécialiste dans le moteur de recherche est déjà dans la mise au point d'un véhicule qui roule bel et bien et qui est promis à une production de 150 exemplaires pour sa mise au point. Au cours de celle-ci a surgi l'idée de l'équiper en airbags. Certes, mais ceux-ci sont attendus à l'extérieur de la voiture, et non à l'intérieur.

Un proche de la firme roumaine a déclaré à des journalistes qu'un diffuseur de parfum est à venir dans l'intérieur des Dacia. Le système existe déjà chez une autre marque du groupe : Renault. Les berlines Latitude et les voitures électriques Zoé en sont équipées.

Elon Musk est probablement le seul homme au monde à avoir cru un jour qu'il pourrait vendre des dizaines de milliers de véhicules électriques chaque année. Tout le monde l'a pris pour un fou mégalomane jusqu'à ces dernières années et les 25 000 Tesla Model S vendues annuellement. Quand il dit que les voitures autonomes pourraient bien à terme rendre la conduite illégale, on a donc envie de l'écouter.