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Les grèves dans la on ne peut plus stratégique industrie automobile Turque prennent fin. Les constructeurs ont lâché du lest sur les salaires et la Turquie respire. Dans le cas quasiment emblématique d'une usine d'Oyak-Renault, où ils étaient une grande majorité des 5 000 personnels à avoir débrayé, il s'en est fallu de 1 000 livres nationales pour désamorcer une situation explosive à la veille d'élections législatives attendues pour le 7 juin. L'équivalent d'un mois de salaire. D'une valeur, sous nos latitudes de... 350 euros.

L'usine Renault Cleon va embaucher en 2015 100 personnes en Contrat à Durée Indéterminée afin d'assurer la production du nouveau moteur électrique de la Renault Zoe. Ces embauches font partie du plan annoncé par Carlos Ghosn comprenant 1000 recrutements dont 500 en France.

Carlos Ghosn est arrivé à la tête de Renault au mois d'avril 2005 en remplacement de Louis Schweitzer. Cela fait donc une décennie qu'il préside aux destinées de la marque au Losange et s'il s'estime satisfait de son bilan, le syndicat CGT Renault a une autre vision de sa présidence, bien différente. Pour marquer cet anniversaire des 10 ans, le syndicat a publié un document intitulé « 2005-2015 : 10 ans de stratégie financière » dans lequel il n'épargne pas Carlos Ghosn.

C’est bien connu, les hommes et les femmes ne fonctionnent pas pareil. Ce constat est vrai dans tous les domaines de la vie ou presque et l’automobile ne fait pas exception à cette règle, comme en atteste un récent sondage.

Pour l'année 2014, la firme de Wolfsburg accorde à ses travailleurs une prime annuelle de 5900€. En 2011, 2012 et 2013, les bonus s'élevaient respectivement à 7500€ , 7200€ et 6200€. Le chef du comité d'entreprise Volkswagen a déclaré que la prime de cette année dépasse pourtant le montant défini par les profits de la marque.

La situation de la Russie ne s'améliore toujours pas et pour faire face à cette crise majeure, le constructeur AvtoVaz (Lada) qui est dirigé dorénavant par l'Alliance Renault-Nissan va devoir procéder à de nouveaux licenciements. Cette fois-ci ce sont les cadres qui sont visés.

Toyota s'apprête à révolutionner une pratique ancienne du pays en modifiant la structure de rémunération en place dans ses usines japonaises depuis toujours. Jusqu'ici payés en fonction de leur ancienneté, les jeunes employés du premier constructeur automobile mondial seront désormais rémunérés au mérite !

Les ouvriers de l'usine Dacia de Mioveni sont sur le point d'initier un mouvement de grève. Les renouvellements des contrats de travail entrainent de nombreuses demandes pour des augmentations salariales. Pour l'instant, l'établissement refuse.

C'est la semaine dernière que Ford a définitivement mis la clé sous la porte de son usine de Genk en Belgique. Le site existait depuis 1962 et a compté jusqu'à 14 000 employés dans les années 90. Mais tout cela est bel et bien terminé.

Dans une conjoncture générale où l'on ne parle que de surcapacités, terme généralement préliminaire à la fermeture des usines, l'annonce sonne comme une fausse note. Surtout au lendemain d'un plan de compétitivité misant sur les congés