Dans la lutte anti-radars, les célèbres Inforad, Stopflash et Navirad ont trouvé leur public. Mais leur pouvoir de détection se cantonne principalement aux cabines automatiques. Caradisiac a déniché des détecteurs capables de localiser les radars automatiques, mobiles ainsi que les jumelles. Mais attention si leur efficacité est bluffante, leur utilisation est interdite en France. Enquête.
Avec 1000 radars fixes et 300 radars mobiles en service sur le territoire, début 2006, les automobilistes n'osent plus titiller la pédale de droite par peur du flash.
Et les 500 cabines supplémentaires prévues pour la fin de l'année, ne vont pas arranger les choses.
Depuis octobre 2003, date de la mise en service de la première cabine, les radars automatiques ont pris une ampleur démesurée : 205,9 millions d'euros de bénéfice et plus de 4 millions d'automobilistes verbalisés en 2005. La résistance s'est très vite organisée, avec le lancement controversé (au début) de l'Inforad, puis d'une hotline téléphonique informant l'automobiliste sur l'emplacement des radars fixes.
D'autres produits (Stop flash, Navirad, PDA, téléphone portable, GPS portables) basés sur le même principe que l'Inforad, à savoir une détection par GPS ont été commercialisés par la suite. Mais leur vente se sont très vite essoufflées en raison d'un pouvoir de détection très limité. En effet ces détecteurs sont certes légaux, mais ils n'ont pas le pouvoir de repérer les jumelles, les dopplers ou encore les radars fixes embarqués. Caradisiac a dénicher le moyen le plus radical pour faire la nique à toute sorte de radar !
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