Né sous le signe du taureau, Ferruccio Lamborghini fit de ce puissant animal de combat l’emblème de sa société. Pour identifier ses modèles, il a repris le nom de races prestigieuses vues dans les corridas. Instruisez-vous en passant un agréable moment au milieu de modèles sortant tous de l’ordinaire.
Suivez pas à pas le parcours exemplaire d’un homme, pour qui la réussite n’était pas un vain mot. Troublé par le succès d’Enzo Ferrari, Ferruccio Lamborghini était encore plus motivé.
La production la plus récente, la Murciélago est comparée à son aînée, la Diablo. Comme en témoignent les attirantes galeries de photos. Elle atteint les dimensions surnaturelles d’une supercar dont l’efficacité redoutable la fait parvenir au niveau des meilleures sportives du marché. Comme toute Lamborghini, la Murciélago est un mirage qui passe, les photos méritent le coup d’œil, même si le jeune auteur n’est guère passionné par les vues d’intérieur ni par les blocs moteurs.
On peut le remercier malgré tout pour la grande diversité de son site, plus fourni que le site officiel.
La Murciélago succède à la Diablo en septembre 2001
La Diablo avait la lourde responsabilité de préserver le prestige de la marque que la Countach avait si bien réussi à promouvoir. Toute commande fut interdite avant sa présentation officielle car sa carrière promettait d’être très courte. La Diablo était un modèle qui se singularisait nettement du point de vue du confort et de la sécurité. Finalement, la production allait durer onze ans et elle fut dévoilée en neuf versions, toutes plus exclusives les unes que les autres avec des puissances de 490 à 590 ch.
La Diablo : une ligne agressive qui laisse entendre son efficacité
Ferruccio Lamborghini a connu un sérieux revers de fortune et dut préparer l’avenir. Très futuriste à l’époque de son lancement, la Countach a régulièrement subi des améliorations techniques. Les évolutions des différentes variantes sont comparées, tableau chiffré à l’appui. Toutes ses particularités, son châssis, sa mécanique et sa ligne audacieuse sont commentées.
La Countach : le plus beau succès de la marque ?
L’ère Mimran ne correspond pas à l’image de marque habituelle de Lamborghini. Elle a donné naissance à des véhicules tout-terrain dont l’aspect nous rappelle, pour ne prendre qu’un exemple, une de nos références contemporaines : le Hummer.
Digne représentant de la marque, le LM voit grand : 455 ch, 3 tonnes et un réservoir de 290 litres ! Cependant, deux gros points noirs le rendent moins attirant : sa consommation qui atteint facilement 50 litres aux 100 et sa tenue de route…
Le LM : un tout-terrain efficace et sportif ?
Une petite place est réservée sur le site, à une présentation de la Jalpa qui se résume à quelques photos et un tableau affichant les caractéristiques techniques de deux versions plutôt sages. Pas de commentaire ici, mais vous en obtiendrez sûrement en naviguant sur les sites évoqués précédemment. Ces remarques sont aussi valables pour d’autres modèles trop méconnus : l’Urraco, la Jarama et l’Islero.
L’Espeda, plus attirante, plaît tout de suite à la clientèle par son caractère sportif, ses quatre places et sa ligne signée Bertone. Ce modèle qui permit à Lamborghini de remporter la palme du premier rang de la production. Découvrez toutes les séries ayant justifié son succès.
La Miura fut une véritable apparition lors de sa présentation. Ce noble taureau de combat a été un autre chef-d’œuvre de Bertone. Déjà catapultée par un V12, elle s’est autorisée le titre de la voiture la plus rapide. La production de ce véritable mythe fut rapidement écoulée ; d’autres constructeurs tentèrent alors d’en faire une copie et une version de compétition fit son apparition.
Un dernier hommage est rendu cette fois ci aux 350 et 400 GT 2+2. Découvrez toutes les astuces qui leur ont permis de passer de l’état de prototypes à celui de modèles de série.
D’autres études de style et d’autres catégories d’engins motorisés dans lesquelles la marque est présente, mettent en valeur des pièces de collection, qu’il s’agisse de tracteurs ou de bateaux.
Redescendez sur terre en téléchargeant un petit écran de veille avant de quitter le site, car il est toujours difficile de revenir à la réalité lorsque l’on a tutoyé le rêve !
Lire aussi :
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération