L'original, on l'oublie parfois, avait pour nom de code interne T1 pour Transporter 1. Les Américains l'avaient surnommé Microbus, les Français Combi, et les Allemands Bulli, d'où le nom de ce concept présenté pour la première fois à Genève.
Indéniablement on retrouve tous les traits caractéristiques de l'ancien Combi. La silhouette, la peinture bi-ton, l'intérieur simple et dépouillé (bien qu'aujourd'hui plus techno), et l'esprit de liberté.
Le Bulli se présente comme un véhicule 6 places. Trois devant, grâce à la banquette continue, et trois derrière. Les sièges sont tous rabattables et peuvent former une surface de couchage, comme sur le Combi. Tous sièges rabattus, le coffre accueille 1 600 litres de bagages.
La planche de bord est très aérienne. Trône en son centre un iPad amovible qui outre ses fonctions classiques peut piloter le téléphone en bluetooth ou le système de navigation. Le Combi, oups pardon, le Bulli, passe véritablement dans le 21ème siècle.
Mais c'est sous le capot que la révolution a lieu. Le boxer essence original situé à l'arrière et la propulsion cèdent la place à un moteur électrique situé en porte-à-faux avant. Il développe 85 kW (115 ch), et 270 Nm de couple. La vitesse maxi est auto-limitée à 140 km/h, et l'autonomie est annoncée à 300 km, un chiffre élevé et qui ne demande qu'à être vérifié. Mais le Bulli a été aussi conçu pour recevoir des moteurs thermiques classiques du groupe VW, soit pourquoi pas des 1.0 (nouveau) ou 1.4 TSI.
Vous qui avez connu, ou pas, le Combi, que pensez-vous de cette nouvelle interprétation ? Est-elle plus convaincante que le premier essai de 2001 ?
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération