Moi, je peux juste vous signaler que j’ai traversé le « Channel » et que je me suis installé sur une plage de Portsmouth pour me délecter à nouveau frais des petites anglaises. Car la Bristol est un cas à part parmi la faune des voitures anglaises produites au compte goutte. Rien à voir avec une Ginetta, pas même une Arash. Tout cela n’est, comparé à la Bristol, que menu fretin.
Pour qui n’a jamais goûté au plaisir (quasi défendu) distillé par une Bristol (mettons une Blenheim 3), il est bien délicat de s’entretenir de plaisirs réservés à quelques privilégiés. N’est pas aristocrate qui veut et la production de Bristol est là pour nous le rappeler. A toutes et tous.
N’empêche, si vous souhaitez persister, si vous souhaitez approcher ce péché mignon, jeter donc un coup d’œil à la dernière édition de version française d’EVO. La Mercedes SLS AMG y est notamment opposée à la Bristol, dans sa plus simple expression de base.
Voilà pourquoi pour goûter aux 1 000 ch de la Fighter T, il nous faudra donc encore patienter, apprendre, feinter et espérer pouvoir un jour y accéder.
En attendant, j’aime toujours de nuit comme de jour la Fighter T. Vous avez dit masochiste ?
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