Trois fois champion du monde de boxe, six fois champion d'Europe, Fabrice Bénichou est un fan des grosses voitures américaines et de Harley. Passionné de pilotage, il envisage même de participer au prochain Paris-Dakar.
Caradisiac : Il t'arrive de te faire arrêter par les gendarmes ?
Fabrice Benichou : Comme tout le monde, de temps en temps.
Caradisiac : Et quelle est leur réaction ?
Fabrice Benichou : La plupart du temps, ils me reconnaissent et me laissent tranquille et je peux repartir. En revanche, s'ils montent sur leurs grands chevaux, je sais aussi pousser mon coup de gueule !
Caradisiac : Comment te définirais-tu en tant que conducteur ?
Fabrice Benichou : Je suis plutôt du genre tranquille. Mais si j'ai un objectif pour aller d'un point A à un point B, je n'aime pas perdre de temps, donc j'essaie de m'y rendre le plus rapidement possible. Mais je sais que je ne suis pas un pilote. Je m’en suis vraiment rendu compte le jour où je suis monté avec Didier Auriol et qu'il m'a fait une démonstration de pilotage. Sinon, lorsque j'ai du temps, j'aime bien observer le paysage, être tranquille et de préférence au volant d'une grosse voiture confortable.
Caradisiac : Par quel style de voiture es-tu attiré ?
Fabrice Benichou : J'adore les grosses voitures américaines.
Caradisiac : Et qu'en attends-tu principalement ?
Fabrice Benichou : Le confort, la boîte automatique et un gros moteur.
Caradisiac : Quels sont tes critères dans le choix d'une voiture ?
Fabrice Benichou : En tout premier lieu, l'esthétisme. J'aime bien avoir une voiture différente des autres et, si possible, qui ne consomme pas trop.
Caradisiac : C'est un peu antinomique avec les grosses américaines ?
Fabrice Benichou : Oui, c'est sûr. En plus, les routes françaises se prêtent mal à la conduite de ces voitures.
Caradisiac : Tu es plutôt pro Diesel ou pro essence ?
Fabrice Benichou : Je suis pro GPL, je suis absolument contre le Diesel !
Caradisiac : Es-tu sensible aux belles voitures ?
Fabrice Benichou : Ah, oui ! mais je reste toujours dans le critère “américaines”, du style Cadillac décapotable des années 1950 ou Ford Mustang. Les Porsche ou Ferrari ne me font, finalement, pas trop délirer.
Caradisiac : As-tu une voiture fétiche ?
Fabrice Benichou : En fait, j'en ai deux, la DS, et la Mustang avec un gros V12.
Caradisiac : As-tu déjà craqué pour une voiture ?
Fabrice Benichou : Oui, à l'époque, j'habitais Panama, et je m'étais offert un Dodge coupé, avec près de 400 ch. Un vrai monstre, avec bien sûr une boîte automatique.
Caradisiac : Te rappelles-tu de ta première voiture ?
Fabrice Benichou : Bien sûr, c'était une Volkswagen Passat, vert pomme… je crois que je l'ai gardée jusqu'à la fin. Ensuite, j'ai eu une GS, puis une BX GT.
Caradisiac : La mécanique, c’est ton truc ?
Fabrice Benichou : Comme ma copine s'y connaît nettement mieux que moi, je suis quand même obligé de m'y mettre un peu et d'apprendre, mais je déteste ça.
Caradisiac : Petit, tu rêvais déjà de voiture ?
Fabrice Benichou : J'adorais rouler, et je pensais qu'à une seule chose : pouvoir conduire tout seul. Dès mes 12 ans, j'ai pu conduire avec mon père, j'étais heureux comme un pape ! Ensuite, à l'approche de mes 18 ans, passer mon permis de conduire est devenu mon principal objectif.
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