Essai vidéo - Toyota Yaris hybride : première réussie

Plus besoin de présenter la Toyota Yaris qui en est aujourd’hui à sa troisième génération. La petite japonaise fabriquée à Valenciennes s’est fait une place de choix sur le marché des citadines à côté des françaises mais également de certaines étrangères. Alors que la plupart des constructeurs proposent sur ce segment des alternatives classiques (essence ou diesel) ou réfléchissent à des versions ou modèles 100 % électriques, la firme nipponne met tout le monde d’accord avec une offre Full Hydrid entièrement inédite.

Esthétiquement, comme on pouvait s’en douter, pas de révolution. Toutefois, il existe quelques différences entre cette version hybride et une Yaris traditionnelle. Ainsi, la face avant évolue avec l’apparition de LED dans les projecteurs, d’une calandre repensée, et d’un logo qui s’orne de bleu comme tous les modèles hydrides de la marque. L’arrière se distingue pour sa part par de nouveaux feux à diodes.

La planche de bord de la Yaris hybride est quasi identique à une version classique

Constat identique dans l’habitacle avec quelques petites nouveautés telles que les différentes touches de bleu au niveau du bouton de démarrage, du levier de vitesses, des surpiqûres ou du tissu de la sellerie. Le système multimédia permet aussi de visualiser certaines informations liées à l’hybridation et le compte-tours est remplacé par un cadran qui indique les différents modes de fonctionnement du véhicule. La planche de bord demeure inchangée au niveau de son dessin mais elle arbore un nouveau coloris gris.

La bonne nouvelle concerne les aspects pratiques qui ne subissent aucune modification par rapport à une version classique. Ici, pas de réduction de l’habitabilité arrière ou du volume de chargement puisque le réservoir et les batteries sont désormais implantés sous la banquette arrière. Résultat : l' habitabilité ne bouge pas et le volume de chargement est préservé de 286 litres.