Après l’avoir vu à de multiples reprises sous la forme de concept, Ford nous présente aujourd’hui la version définitive de son minispace : le B-Max et ses fameuses portes arrière coulissantes.
Depuis longtemps, on connaît la principale particularité du B-Max à savoir ses portes arrière coulissantes et l’absence de montant B qui permet d’accéder très facilement aux places arrière. Pas donc de surprise à la découverte du B-Max définitif du système Easy Access mais on a pu se rendre compte de sa praticité effective. Esthétiquement, le B-Max est plutôt réussi sans être particulièrement innovant. La planche de bord est en équation avec les productions actuelles de Ford à savoir avec une multitude de boutons et donc une ergonomie qui demande un sérieux temps d’adaptation.
En termes d’équipement, le B-Max sera le premier modèle européen à bénéficier du système SYNC de connectivité embarquée à commande vocale, associé à la fonction d’appel d’urgence Ford SOS qui appelle automatiquement les services de secours en cas d'accident.
Il est aussi le premier de son segment à offrir le système Active City Stop, conçu pour éviter les collisions à faible vitesse en cas de ralentissement ou d'arrêt brutal du véhicule précédent.
Au niveau des motorisations, il sera animé en essence par le nouveau trois-cylindres 1,0 litre EcoBoost disponible en 100 ch et 120 ch, le 1,4 litre de 90 ch, ainsi que le 1,6 litre de 105 ch couplé à la boîte automatique à double embrayage et six rapports PowerShift. Deux moteur diesel dont une première avec l’arrivée du 1.5 de 75 ch, dérivé du 1,6 litre, qui apparaît pour la première fois dans la gamme européenne de Ford. Il sera secondé par le 1.6 de 95 ch.
Sans aucun doute, le B-Max apporte un peu de nouveau dans le segment des minispaces avec ses portes arrière coulissantes qui facilite grandement l’accès des passagers.
On a aimé : le dispositif Easy Entry et le moteur 1.0 Ecoboost
On n’a pas aimé : design manquant d’originalité
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