Certes, la différence de taille des pneumatiques avant/arrière entraîne un équilibre plus sous-vireur. Mais celui-ci reste facile à combattre avec un minimum de métier, d'autant que la motricité s'avère excellente entre les Michelin MXX3 et le différentiel autobloquant à 25 %.0 Des réactions très saines, donc prévisibles, comme pour la Corvette, rendent cette auto passionnante et assez facile à piloter, à condition de doser la pédale de droite avec discernement. En l'absence de gestion électronique du papillon d'admission (normal, il y a un papillon par cylindre à commande mécanique, comme sur une voiture de course), on ne trouve pas d'antipatinage sur la M3, et encore moins de dispositif de contrôle de trajectoire. Ce qui signifie qu'il faut être tout le temps concentré sur la conduite, et davantage encore les jours de pluie. Reste, pour le béotien, une stabilité sur autoroute et en grande courbe rassurante, comparable à celle de la Corvette.
3. BMW M3 : un sous-virage facile à combattre
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