Si Jorge Lorenzo a placé la bande à Marvel dans le paddock Moto GP avec son casque à la gloire d'Iron Man, Dani Pedrosa n'a pas manqué de rappeler qu'il faisait partie des quatre fantastiques du plateau de l'élite.
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L'an dernier il célébrait Captain America et cette fois, c'est Iron Man qui a les honneurs de son casque. Jorge Lorenzo joue donc les super-héros à Indy et en ce premier jour du Grand Prix des Etats-Unis, il a combattu les super-vilain vêtus de rouge qui venaient d'abandonner le Superbike.
Il n'était pas des festivités l'an dernier à cause de soucis de santé, mais cela ne l'a pas empêché de dominer la première journée du Grand Prix des Etats-Unis à Indy. Casey Stoner a été solide comme un roc sur le Brickyard et s'est même permis d'évoluer en solitaire dans la zone des 1'40 au tour.
Cinquième et accusant un retard de plus d'une demi-seconde sur le leader de ce premier jour du Grand Prix des Etats-Unis à Indianapolis, Valentino Rossi ne peut être satisfait de son entame sur un tracé d'Indy qui lui cause des soucis.
Dernière place. Le verdict de cette première journée à Indianapolis est sans appel pour notre Randy De Puniet qui a déjà affirmé qu'il n'était pas un adepte de ce tracé. Apparemment, celui-ci le lui rend bien et à sa forme physique encore perfectible se sont ajoutés des problèmes d'adhérence qui n'ont pas favorisé les bonnes sensations.
Les rumeurs de son pays le disent proche d'un accord stratégique avec Aprilia pour jouer en 2012 la tête de pont qui permettra aux troupes de Noale de débarquer sous le blason officiel en Grand Prix en 2013. Mais il semblerait que Jorge Marinez ait d'autres projets, qui tournent autour d'une fidélité sans faille à une usine Ducati qui a sacrifié le Superbike sur l'autel du Moto GP.
91 000 spectateurs pour sa première dans le calendrier Moto GP en 2008, et ce malgré un ouragan dans les environs, puis seulement 75 000 l'année suivante dans une Amérique en pleine récession, ce n'est rien de dire que l'aventure de l'élite de la vitesse moto avec le site d'Indianapolis ne relève pas de la partie de plaisir.
Le retrait de l'usine Ducati du mondial Superbike ne laisse pas insensible les protagonistes du mondial Superbike. Du côté de Honda, Carlo Fiorani se dit carrément choqué car pour lui « Ducati est le Superbike. Leur absence est sans aucun doute une perte pour le championnat.
Le retrait officiel de l'usine Ducati du mondial Superbike n'a évidemment pas laissé de marbre le boss de la catégorie, Paolo Flammini. Le transalpin a lu le communiqué de ses compatriotes et notamment le passage au sujet du règlement.
La cessation de toute implication officielle de la part de l'usine Ducati dans un mondial Superbike qu'elle côtoyait depuis les débuts de cette catégorie a fait l'effet d'un bombe dans le paddock des Flammini.
