Le dernier Grand Prix de l'année à Valence coïncidait aussi avec l'ultime représentation de Lorenzo sur une Yamaha comme de Iannone sur une Ducati ou encore Viñales sur une Suzuki. Une der que Por Fuera a honorée de la plus belle des façons avec une victoire sans appel. Même si Márquez a été un danger jusqu'à la fin.
Toute l'actualité Moto 3
Si les hostilités avaient commencé un 11 novembre à Valencia, le samedi suivant a eu valeur de 14 juillet sur un tracé Ricardo Tormo qui a vu ses records de piste revus à la baisse. Ceci grâce à un Lorenzo dominateur et un Zarco toujours motivé, les deux ayant à cœur de quitter leur scène respective avec les honneurs.
C'est un Lorenzo qui a retrouvé son marteau qui a martelé son rythme sur un tracé de Valence qui reçoit le dernier rendez-vous de l'année du MotoGP. Le Majorquin a d'abord réalisé le meilleur temps du matin avant d'enfoncer le cou l'après-midi. En Moto2 Morbidelli est devant et en Moto3, Bastianini mène.
La Malaisie n'a pas déçu pour son Grand Prix à Sepang copieusement arrosé par la pluie. Des conditions compliquées qui ont créé le chaos en Moto3 mais que Zarco en beau champion a su gérer pour s'offrir une victoire synonyme de second titre.
La journée qualificative du Grand Prix de Malaisie a été marquée par l'arrivée de la pluie comme dessert de la pause-déjeuner. Un changement radical de conditions dont se sont bien sortis Binder en Moto3 et Dovizioso en MotoGP. Sans oublier Zarco qui a impressionné en Moto2 en écrasant la concurrence de plus de deux secondes au tour.
Le Grand Prix de Malaisie a ouvert ses hostilités et c'est un Márquez qui a tiré le premier. A la faveur d'une séance matinale à la météo clémente, le désormais Champion du Monde a réalisé la meilleure performance alors que l'après-midi a été gâchée par la pluie. Heureusement pour l'officiel Honda, car il est souffrant.
Crutchlow avait gagné sur le mouillé à Brno, mais il a démontré en gagnant sur le sec à Phillip Island qu'il n'était pas un vainqueur par hasard. Certes, il a profité de la première chute de l'année en course de Márquez, mais pour s'imposer, il a dû aussi mettre au pas Rossi.
Les conditions difficiles du vendredi se sont répétées ce samedi dévolu aux qualifications sur le tracé de Phillip Island. Avec cette circonstance aggravante que parfois, l'apparition du soleil bouleversait la donne avant le retour de la pluie. A ce jeu de l'opportunité et du gros cœur, Márquez a excellé alors que les Yamaha ont pris l'eau.
La première vedette de cette édition du Grand Prix d'Australie est une pluie qui a rincé le plateau d'un MotoGP qui a dû arrêter les hostilités au drapeau rouge avant la fin de la journée. Le Moto2 a carrément été privée de la séance de l'après-midi tandis que seule la Moto3 a pu honorer ses deux sorties du vendredi.
Pour que Márquez soit titré ce dimanche au Japon, il fallait non seulement qu'il remporte la victoire mais qu'en plus les Yamaha connaissent une débâcle. Un scénario compliqué à réaliser, surtout sous un ciel clément. Et pourtant… Et pourtant, c'est exactement ce que l'on a vu sur le tracé du Motegi.