Les nuits de fête sont la plupart du temps arrosées et leur épilogue se conjugue souvent avec une gueule de bois d’autant plus anxiogène qu’elle peut être caractérisée par des amnésies partielles. C’est ce qui est arrivé à ce Norvégien qui a passé le nouvel An au Danemark et qui est rentré chez lui en taxi en passant par la Suède. Un périple de 600 km qu’il a eu l’intelligence de ne pas faire au volant de sa voiture. Mais, c’est lors de la présentation de facture salée de la course que les choses ont mal tourné…
2018 est là ! Toute l'équipe de Caradisiac vous souhaite une excellente année. Parmi nos résolutions, il y a celle de toujours mieux vous informer. Et l'actualité automobile de 2018 s'annonce riche et passionnante. La preuve avec ces dix événements qui feront la Une de notre site au cours des douze prochains mois et s'inviteront dans vos conversations.
Pendant que le monde automobile adhère au courant de l’électrification de ses gammes, d’autres résistent aux charmes de la batterie pour épouser la cause de l’hydrogène. C’est le cas de la Société du Taxi Électrique Parisien (STEP) qui exploite les taxis Hype, composés d’une flotte de taxis hydrogène. Les modèles existent tant chez Hyundai que chez Toyota et c’est justement à l’occasion de la livraison de trois nouvelles voitures frappées du blason de ce dernier constructeur que Hype a dévoilé ses ambitions jusqu’à l’horizon 2020.
Samy Naceri, qui a joué le chauffeur de taxi Daniel Morales dans les quatre premiers épisodes, n'a pas souhaité participer au prochain opus, qui sortira en avril 2018.
En 2015, la société du taxi électrique parisien (STEP) lance la première flotte de taxis hydrogène au monde, baptisée "Hype". Deux ans plus tard, elle fonctionne toujours, et elle aura même un nouveau point de ravitaillement puisque le spécialiste de l'hydrogène, Air Liquide, annonce l'ouverture d'une station à l'aéroport d'Orly.
L'entreprise française Navya présente le tout premier robot-taxi autonome au monde. Un véhicule qui propose de réinventer la mobilité urbaine, et dont les premières expérimentations débuteront prochainement à Paris.
Parler d’une voiture volante, il n’y a pas si longtemps, relevé du domaine de la science-fiction et de l’accessoire de cinéma. Mais c’est à présent une chose très sérieuse qui draine un investissement conséquent. En fait, il s’agit du point de rencontre entre deux mondes en pleine mutation qui vont révolutionner le transport à la personne. Une réalité qui va jusqu’à motiver des grands noms comme Airbus et Boeing.
Uber aime le noir mais le spécialiste du véhicule de transport avec chauffeur, dite VTC, va devoir bientôt lutter contre un chevalier blanc. Car c’est la couleur dominante d’un concurrent aux dents longues et au fonctionnement annoncé comme plus respectueux des droits de ses servants. Voici Taxify, un nom qui va arpenter les rues de Paris avant la fin de ce mois de septembre. Et ce n‘est pas américain.
Les indicateurs économiques nous le disent : la santé des entreprises s’améliore en France. La preuve ? Les statistiques montrent que le nombre de défaillances d’entreprise se réduit. Une tendance solide : au premier trimestre, il est tombé pour la première fois depuis 2008 sous le seuil des 16 000. Et il a encore reculé au second sous les 13 000. Certes, mais tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Par exemple, être taxi ou tenir une auto-école, c’est vivre une réalité exactement inverse.
Uber est un nom connu mondialement et une plaie pour toutes celles et ceux qui ont choisi le métier de taxi. Un virus pour certains qui tue la profession de transport à la personne, une aubaine pour les utilisateurs qui voient l’opportunité de se déplacer avec un chauffeur à moindres frais. Mais pour tous les gouvernements, c’est une météorite qui est tombée et qui a bouleversé tout un corpus juridique incapable de cerner cette entité qui jouirait presque de l’impunité. Et si le remède venait de l’Europe ?