
Lorsqu’il y a crise, il y a deux façons de voir les choses. On peut considérer ça comme une calamité mais on peut aussi envisager la conjoncture comme une opportunité. Renault a semble-t-il décidé de prendre ce pari avec une Russie qui a encore vu récemment son marche de l’automobile se contracter de 33% par rapport à la même période un an plus tôt. Et le blason français a vu ses ventes y chuter de 37%. Qu’à cela ne tienne, le losange ne battra pas en retraite. Plutôt que la Bérézina, c’est l’ancrage qui est choisi, avec une attention toute particulière portée à la renaissance de la marque Moskvitch.