
Des engagements internationaux en faveur d’un climat à préserver poussant à une baisse de sa consommation… Un prix de son baril orienté à la baisse trahissant une offre plus grande que la demande… On pourrait penser au vu de ces données qu’il n’y a pas à se mettre dans le rouge lorsque l’on s’interroge sur la pérennité de l’or noir. Et pourtant, dans 25 ans, on pourrait bien rire jaune.