C’est un projet Apple Car placé sous le label Titan et au fur et à mesure que les mois passent, on se demande si ce n’est pas un colosse au pied d’argile. Mais lorsque l’on est la montagne Apple, on ne peut accoucher d’une souris. Tout au plus peut-on annoncer un allongement du délai de gestation. Ce qui vient d’être fait.
Alors que la polémique continue d’enfler aux Etats-Unis après l’accident mortel d’un conducteur de Tesla qui roulait sous Autopilot, Caradisiac a eu l’opportunité de tester une Model S restylée équipée du système en question entre la région parisienne et Reims, où vient d’être installé le premier superchargeur d’autoroute.
La General Motors n’en a peut-être pas fini avec son passé fait de commutateurs d’allumage défectueux et meurtriers, mais elle avance vers l’avenir. Ses 500 millions de dollars investis dans la plateforme Lyft spécialisé dans le transport de la personne commencent à produire ses effets. Et c’est par ce biais que le groupe américain voudra s’affirmer dans le monde de la voiture autonome électrique.
Tout ce qui n'était qu'une question de temps ayant que cela arrive : les premiers accidents de la route liés au jeu Pokemon Go, qui fait polémique outre-Atlantique et qui va débarquer en France, sont arrivés. Un homme a complètement détruit son auto en tentant de chasser les créatures virtuelles sur la route. La police a dû s'y mettre et communiquer afin de limiter les dégâts.
Aux Etats-Unis, un tout nouveau jeu (qui n'est pas si nouveau que cela, nous allons le voir) créé la polémique depuis quelque temps puisqu'il a provoqué un certain nombre d'incidents sur la route. Ce jeu va justement débarquer prochainement en France et si la tendance et le buzz sont aussi importants, il y a à craindre quelques débordements. Explications.
La General Motors digère progressivement son affaire de commutateur d’allumage déficient qui l’a fait entrer dans l’histoire automobile des plus gros rappels de voitures produites. Son image se redresse comme ses comptes alors que sur son marché domestique, la défiance n’a pas eu lieu. Il s’agit maintenant de montrer que l’on va de l’avant. En parlant à nouveau de l’auto connectée ? Non. Mais en faisant référence à un gant robotisé.
C’est à la fois la crédibilité de la future automobile autonome et l’avenir même du constructeur Tesla qui se joue actuellement aux États-Unis. De ce qu’il ressortira de l’enquête des autorités américaines sur l’accident mortel d’un Model S attribué à son système d’Autopilot, et des investigations sur un autre fait concernant un Model X équipé du même dispositif, changera la donne.
Il s’agit du premier accident mortel attribué au fonctionnement d’une voiture autonome. Un fait dramatique qui pourrait être historique au moment où l’on nous assure qu’en ne conduisant plus, nous aurons des routes plus sûres. De fait, l’enquête que va mener l'agence américaine de la sécurité routière (NHTSA) sur cet accrochage fatal entre un camion et une Tesla Model S en mode « Autopilot » va être observée de près.
Volkswagen avait rapidement provisionné de l'argent après la sortie de l'affaire des moteurs truqués, pour remédier aux lourdes dépenses à venir. Avec un peu plus de 16 milliards d'euros débloqués, le groupe allemand a de quoi voir venir... aux Etats-Unis, seulement, puisque le total des dépenses pour couvrir les dommages de ce scandale tourne désormais autour des 15 milliards de dollars, seulement outre-Atlantique.
Entre Volkswagen et les Etats-Unis, on s’est mis d’accord sur une première somme globale de 15 milliards de dollars pour indemniser les propriétaires de véhicules de la marque désignés par le « dieselgate ». Ces voitures sont aussi vendues en Europe, mais l’automobiliste du vieux continent qui roule avec un diesel sciemment truqué par le constructeur allemand n’aura droit à rien si ce n’est un passage par la concession pour un rappel et une poignée de mains. Une différence de traitement qui fait tousser et pas à cause des émissions polluantes.